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[NEWS] Sony’s Brainstorming #8 – Petit mot sur l’E3

Alexis G. — Thu, 07 Jun 2012 15:52:37 +0000

A la base, je n’avais pas l’intention de m’attarder sur un quelconque compte rendu complet de l’E3 de cette année, pour diverses raisons, déjà parce qu’aucune organisation n’a été prise de notre part pour gérer la convention en live et donc vous tenir informés, disponibilité d’images, vidéos, etc.. nada. D’autre part, il faut avouer que le contenu de cet E3 était au final assez maigre, faire le tour du propriétaire n’aurait été donc qu’une suite de paragraphes sans peu d’intérêt. Mais comme sur 3 des jeux qui se sont détachés des conférences, deux viennent de chez SONY, pourquoi ne pas en dire un mot ! Mais ne vous étonnez pas si le troisième jeu n’a pas vraiment la place dans cet article.

[E3] BEYOND

Présenté en ouverture de la conférence, Beyond est le nouveau jeu du studio français Quantic Dream, si tout le monde s’attendait à un univers tiré de la démo Kara, que neni ! Avec Beyond, habilement sous-titré : Two Souls, Quantic Dream s’attache de nouveau à un thème intriguant et d’une profondeur philosophique et morale importante : la mort. Quel est le rapport avec Kara alors? Pour ceux s’étant limités à l’aspect graphique, rien, Beyond est même beaucoup plus beau du peu que l’on en ai vu. La similitude vient de son moteur technique, reposant totalement sur le concept de Performance-Capture, terme encore maltraité dans l’univers cinématographique dans lequel il n’est pas si vieux. A noter donc la présence cette fois-ci confirmée (après les rumeurs sur The Last of Us) de Ellen Page au casting, interprétant le rôle principal.
Que faut il en penser? Beyond est surement avec Watch Dogs, le deuxième jeu le plus intriguant de cet E3, si sur Twitter les gens se sont lâchés dès les premières minutes en qualifiant le jeu, au final, de bête séquence non jouable, n’oublions pas que Heavy Rain avait reçu les mêmes critiques malgré ses prouesses et qualités hors-normes. Beyond pourrait être le bond faisant avancer l’univers vidéo-ludique en mélangeant cinéma et jeux-vidéo, allant ainsi au-delà de la simple expérience.

[E3] The Last of US

Enfin du gameplay! Voilà la première chose qu’on a pu se dire en voyant la conférence de l’E3, enfin quelque chose à se mettre sous la dent avec ce projet mystérieux qu’est The Last of Us. Les similitudes avec Uncharted se font clairement sentir en terme de mouvement, Mais sur tout le reste, il ne semble y avoir aucune similitude quelconque. Si un rapprochement était à faire, ce serait plutôt avec I am Alive, tout du moins en tant que base, la relation avec les derniers humains avoisinant semblant être poussée encore plus à l’extrême, rendant la folie maîtresse. Car il ne faut pas l’oublier, même si vos ennemis sont pour la plupart déjà morts, c’est du vivant qu’il faudra avoir réellement peur.
Que faut il en penser? Sur la vidéo rapide présentée, on pouvait voir que le personnage avait clairement le choix dans son parcours, afin de prendre à revers, de surprendre ses ennemis. Il semblerait aussi que la jeune Ellie soit prête à vous aider dès que l’occasion se présentera. Naughty Dog semble avoir pris le temps d’améliorer de nouveau son moteur graphique, nous proposant un rendu bluffant. Enfin, même si ce fut bref, il semblerait qu’un système d’artisanat soit présent, afin de confectionner quelques armes, pas plus de détails pour l’instant.

[E3] Watch Dogs

Impossible de renier le fait que Watch Dogs de Ubisoft est LA vrai surprise de cet E3, la seule est unique lueur d’espoir nous montrant que certains studios ont encore le courage de développer en secret un jeu pendant une longue durée pour nous exploser les yeux dès les premières images! Watch Dogs est donc en développement depuis deux ans déjà, et propose enfin un sujet et une thématique peu abordés : la technologie. Sorte de GTA-Like, où la technologie contenu dans votre téléphone aura il semblerait plus d’importance qu’une arme physique, Watch Dogs pourrait être ce renouveau du jeux-vidéo que l’on attendait depuis longtemps. Maintenant il faut voir jusqu’où irons les scripts, et si ils étaient peu nombreux, alors le jeu en serait d’autant plus impressionnant !
Que faut il en penser? Petit mot à tous ceux qui se serait limités aux vidéos présentent sur le net, je vous conseille d’aller voir une rediffusion de la conférence, car une partie du gameplay n’est pas montré dans ces vidéos, pour titiller un peu votre curiosité, regardez l’image juste en dessous et vous comprendrez :

Voilà ce que vous pouviez voir en suivant la conférence...

Maj PSN

Jeu PlayStation Plus du mois

Virtua Fighter 5 : Final Showdown – disponible sur PS3 jusqu’au 4 juillet 2012

Catalogue PlayStation Plus

Warhammer 40,000 : Space Marine (70) – disponible jusqu’au 18 juillet 2012
Chime Super Deluxe (78) – disponible jusqu’au 18 juillet 2012
Darksiders (83) – disponible jusqu’au 15 août 2012
Renegade Ops (80) – disponible jusqu’au 15 août 2012
Outland (83) – disponible jusqu’au 12 septembre 2012
Oddworld : Stranger’s Wrath HD (82) – disponible jusqu’au 12 septembre 2012
inFamous 2 (83)
Motorstorm Apocalypse (77)
LittleBigPlanet 2 (91)

Nouveaux Thèmes PlayStation Plus

2nd Anniversary Dynamic Theme

Nouveaux Avatars PlayStation Plus

La panthère, le rhinocéros, le tigre et le morse.

Jeux déjà disponibles avec PlayStation Plus

Hamsterball – gratuit jusqu’au 4 juillet
Wakeboarding HD – gratuit jusqu’au 4 juillet
Mahjong Tales : Ancient Wisdom – gratuit jusqu’au 4 juillet
Sky Fighter – gratuit jusqu’au 4 juillet
Ricochet HD – gratuit jusqu’au 4 juillet
Mushroom Wars – gratuit jusqu’au 4 juillet
Magic Orbz – gratuit jusqu’au 4 juillet
Smash Cars – gratuit jusqu’au 4 juillet
15% de réduction sur Ghost Recon : Future Soldier jusqu’au 20 juin
Un pack de cartes Daredevil exclusif et gratuit à l’achat du jeu ad Riders jusqu’au 20 juin

Jeux PS3

Bundle FIFA 12 et UEFA EURO 2012 - Prix : 59,99€ - PEGI : 3
Virtua Fighter 5 Final Showdown - Prix : 12,99€ - PEGI : 16
Virtua Fighter 5 Final Showdown Complete Edition - Prix : 24,99€ - PEGI : 16
Who Wants To Be A Millionaire? Football Bundle - Prix : 11,99€ - PEGI : 3

PS2

Shellshock Nam ’67 (compatible avec la PlayStation3) - Prix : 6,99€ - PEGI : 18

minis

Farm Frenzy Pizza Party - Prix : 3,99€ - PEGI : 3

Contenu téléchargeable (PS3)

Atelier Meruru: The Apprentice Of Arland - Hanna - Prix : 3,99€

Dragon’s Dogma - From A Different Sky – Part 3 - Prix : 0,99€

Dynasty Warriors 7 - Original Costume Pack 6-9 - Prix (chaque pack) : 4,99€

Rock Band Network

- Desconocido (0,79€)
- The Devil’S In The Details (1,49€)
- The Fall Of Psilanthropy (0,79€)
- In A Hurricane (0,79€)
- Martyr To Science (1,49€)
- Riddle Me This (0,79€)
- Examination (1,49€)
- Half Cab (0,79€)
- Apology Rejected (1,49€)

Rock Band 3

- Bullet For My Valentine Pack 01 (3,99€)
- DOG DAYS ARE OVER (1,49€)
- I Am S/H(Im)E[R] As You Am S/H(Im)E[R] As You Are Me And We Am I And I Are All Our Together (€0,79)
- Power And The Passion (1,49€)
- Scream Aim Fire (1,49€)
- Tears Don’t Fall (1,49€)
- Teen Angst (What The World Needs Now) (1,49€)
- Your Betrayal (1,49€)

Ridge Racer – 2 DLC (1,49€ et 2,49€)

Soul Calibur V – x2 DLC (1,99€ et 2,49€)

Street Fighter X Tekken – x12 DLC - Contenu varié Prix : Gratuit et 17,99€

Virtua Fighter 5: Final Showdown - Contenu varié - Prix : 4,49€ et 12,99€

Avatars

The Studio Avatars - Prix : 0,25€ et 0,99€

[PREMIÈRES IMPRESSIONS] Bêta Ghost Recon Future Soldier

Alexis G. — Tue, 15 May 2012 05:48:33 +0000

Grâce à un heureux hasard de situation, quelques peu improbable (ce dernier tenant sur une session gaming ayant un peu trop traînée en terme d’horaire et une clé apparue de manière fortuite), j’ai eu la chance de mettre la main sur la bêta de Ghost Recon : Future Soldier les semaines précédentes.
L’arrivée de ce jeu est fortement attendue, encore une fois beaucoup diront « pour son multi » digne successeur de ce qui a toujours été le point faible de certains rivaux : le team-fight, mais d’autres, surtout des habitués de la série, espèrent avant tout y retrouver ce qui avait fait défaut au cours de précédents volets : l’infiltration et le rythme de sa trame solo. Mais dans tous les cas, il est aujourd’hui question de son multi.

Les chiffres de cette bêta : 1 mode de jeu pour 2 cartes, donc vous l’aurez compris, un ersatz de ce que sera ce mode de jeu une fois le soft sorti. Nos deux maps répondaient aux doux noms de Moulin et Pipeline, et sur la plupart de mes parties il m’arrivait plus souvent de tomber sur la seconde, tournée vers une confrontation directe entre les deux équipes.
Si on pourra critiquer le mode de jeu choisi qui est là pour plaire au plus grand nombre, à savoir un mélange entre un team deathmatch typique et un suivi d’objectif mis à jour au fil de la partie (un peu à la manière de l’un des modes présents dans Killzone 3), il faut tout de même avouer que ce dernier était diablement efficace.

Étaient à disposition en revanche toutes les classes : Eclaireur (Sniper), Ingénieur, Fusilier (Assaut), chacune était plus ou moins bien équilibrée, tout ça bien sur à la sauce Ghost Recon. C’est donc sans étonnement que l’on se retrouve avec une classe d’éclaireur tout de même plus axée sur un combat direct style guérilla que sur un axe de support, il est de toute façon assez dur de jouer dans le style d’un vrai sniper, certaines capacités permettant de détecter la position des ennemis. Mais vous l’aurez compris, le jeu ne prend son sens que lorsque la partie est jouée en équipe, dès que ce n’est pas le cas, on se reprend à foncer dans le tas et à tenter de faire un max de frag, les objectifs étant déjà plus durs à atteindre sans un léger sens de la coordination. Ce qui fut malheureusement mon cas, ne connaissant personne pouvant profiter de cette bêta au même moment.

Du coté des classes il y a tout de même un léger souci, pas tant sur une classe mais sur la globalité de celles-ci: le manque d’upgrade. Passer des niveaux n’est presque pas récompensé, les accessoires et les armes débloqués sont parsemés le long de votre évolution et le manque se fait sentir, ce sont de véritables paliers qui se posent, et dès qu’une personne en atteint un, il se retrouve en position de force par rapport à ses adversaires. Alors qu’à coté on nous offre une personnalisation de l’équipement très équilibrée. Sur le plan du gameplay pur, la phobie du TPS n’a pas lieu d’être, la vision passe bien et on se prend au jeu dès les premières minutes.
Petit soucis générique qui n’épargne pas Ghost Recon Future Soldier, c’est son choix de la méthode d’hébergement de partie, ce n’était pas rare que nos chers hôtes opèrent un fameux « rage-quit » nous laissant alors entre les mains d’une migration barbare, mais après tout nous ne sommes qu’au stade de la bêta.

Au final un avis assez neutre sur cette bêta, ce qui nous a été montré est loin de représenter le modèle final, surement plus complet et avec de nombreux modes plus adaptés et surtout nous l’espérons plus originaux.

Le perso de la semaine #8

redha_luffy — Sat, 14 Apr 2012 12:00:37 +0000

Après quelques semaines chargées en cours et en partiels, je peux (enfin!) reprendre l’écriture d’articles. Et pour bien commencer, le perso de cette semaine est un méchant. Gros balaise à cornes qui ne laisse pas de temps mort à son adversaire (vous :p) et qui partage les faiblesses d’un chat (et oui !).

Il s’agit bien sûr du Dahaka :

Grand ennemi du Prince dans Prince of Persia : L’Âme du Guerrier, le Dahaka est le gardien du Temps. Il a pour mission de rétablir le cours du Temps si ce dernier a été modifié. Il prend donc tout naturellement en chasse le Prince après qu’il ait fait joujou avec la Dague et les Sables du Temps, dans l’optique de lui défoncer sa gueule (le tuer quoi). Outre son physique de bodybuilder et ses mains de bûcheron, il dispose de tentacules pour capturer sa proie, et de capacités de maîtrise du Temps : il peut par exemple stopper le Temps à la Hiro Nakamura de Heroes, ce qui se traduit par une téléportation pour vous.

Le Dahaka dans L’Âme du Guerrier

Le Dahaka est probablement inspiré du personnage mythologique perse Zahhak. Il aurait régné en tyran sur le royaume perse de l’époque (qui s’étendait de l’Arménie à la Perse, en passant par l’Arabie et une bonne partie de l’Asie). Il avait deux serpents sur les épaules (une histoire de malédiction et de bisous, cherchez sur Wikipédia en anglais) qu’il devait nourrir de cerveaux humains sous peine d’être dévoré par ses locataires d’épaules. Il sera vaincu après 1000 ans de règne et emprisonné sur une Montagne. Les chara-designers de chez Ubisoft ont donc sûrement transformé les serpents en cornes en forme du signe infini (peut être pour des raisons techniques d’animation?). D’ailleurs, petit détail amusant : les paroles du Dahaka sont incompréhensibles en temps normal, mais si on remonte le Temps avec la Dague, on se rend compte qu’il parle tout simplement à l’envers !

Le tyran Zahhak dans sa prison

Le perso de la semaine #4

redha_luffy — Mon, 21 Nov 2011 21:43:04 +0000

Cette semaine, comme chaque semaine, je vous présente un personnage de jeu-vidéo. Aujourd’hui, il s’agit d’un grand nom du jeu de plates-formes 2D. Son anatomie disons … particulière lui permet d’attaquer ses ennemis de près comme de loin, mais aussi de s’agripper à des rebords lointains.

Il s’agit bien entendu de Rayman :

Créé par Michel Ancel et Frédéric Houde, notre ami sans bras apparaît pour la première fois en 1995 dans le premier Rayman sorti sur Jaguar, PC, Playstation et Saturn. Il a révolutionné le monde du jeu de plates-formes en 2D avec son univers cartoonesque exceptionnel et son gameplay accrocheur. Je vais pas vous parler plus en détail des jeux Rayman vu que je ne suis pas un grand fan des jeux de plates-formes, que ce soit Rayman, Mario ou que sais-je. Je vais plutôt parler de ce qui m’intrigue le plus au sujet de ce personnage : son corps. Attention, ne vous méprenez pas, rien de bizarre dans ce que vous allez lire. Quand je dis « corps », je parle surtout de ses membres, ou plutôt de l’absence de membres. Comment Mr Ancel a-t-il pu avoir l’idée de faire un perso sans bras, ni jambes, ni cou ? Il paraît que c’était simplement pour des raisons techniques. Enlever les membres permet de faciliter l’animation du personnage. Et en effet, pour l’époque, le jeu était quand même vachement ben animé. Mais après trois très bons épisodes, la success story de ce jeune homme-tronc (un ancêtre du mec de Source Code peut-être ?) ne pouvait durer. En 2006, Michel Ancel, pourtant géniteur de Rayman, créé ce qui a failli le détruire… Ça :

Un lapin crétin de classe moyenne

Imaginés lors d’une réunion et modélisés le lendemain en 3D, ils n’ont pas tarder à faire l’unanimité chez Ubisoft, puis, à la sortie du jeu, auprès du grand public. Soyons clair, je n’ai rien contre eux. Je les trouve même très marrant. Mais bon, de là à faire 5 jeux en 5 ans… Tu pousses le bouchon un peu trop loin Maurice, comme dirais le gosse de la pub Nestlé. En plus, mettre Rayman dans ces jeux, et dans un second rôle, c’est vraiment très très dommage. D’autant plus que la forte popularité des lapins, que ce soit grâce aux pubs (Renault, Coca-Cola, Motorola) ou aux vidéos parodiques qui pullulent sur le net, s’est mise à éclipser Rayman ! Heureusement, Ubisoft a visiblement décidé de séparer les deux séries puisque les deux derniers jeux de ces boules de poils ne portent plus le nom de Rayman, mais surtout parce que le gros nez de Rayman (c’est pas méchant, mais j’étais obligé de le dire…) nous revient dans Rayman Origins. On retrouvera de la bonne plate-forme 2D, avec un gameplay toujours aussi bon, et un univers magique soutenu par des graphismes somptueux.

Quelqu'un peut ramasser ma mâchoire ?

Je vous demande en conclusion de bien vouloir signer cette pétition, afin que tous, noirs, blancs, chinois, moi, hommes, femmes, ~~roux~~, PCistes et consoleux, puissent jouer à cette bombe que sera Rayman Origins. Merci.

[TEST] Assassin’s Creed : Brotherhood sur Xbox 360

Yop — Fri, 18 Feb 2011 19:24:00 +0000

Et c’est reparti pour une nouvelle aventure à travers le temps dans l’Animus! Toujours en pleine Renaissance et accompagné d’Ezio Auditore! Mais cette fois-ci, c’est Rome que l’on découvre. Cette suite directe de Assassin’s Creed II apporte pas mal d’améliorations et de nouveautés ainsi qu’un mode multijoueurs inédit à la hauteur du titre.

DUREE DE VIE

Sûrement un point fort de ce titre, la durée de vie de Assassin’s Creed: BrotherHood est plutôt importante pour ce genre de jeu. Comptez facilement 20 heures pour terminer le mode histoire.
De plus, le jeu propose pas mal de quêtes secondaires vraiment intéressantes, telles que la destruction des machines de Léonard de Vinci (mitrailleuse, bombardier, etc…) ou dans le même principe que les tombeaux d’assassins du volet précèdent, les tombeaux de Romulus. Mais ça ne s’arrête pas là! Assassin’s Creed: Brotherhood est le premier épisode de la série à proposer un mode multijoueurs plutôt réussi, où plusieurs assassins ( 8 maximum ) déguisés pour mieux se fondre dans le décor s’affrontent jusqu’à la mort seul ou par équipe.

GRAPHISME

Encore une fois, on peut parler d’une réussite! La ville de Rome, ainsi que tous les monuments de l’époque, sont particulièrement bien reproduits.
Mais Assassin’s Creed: BrotherHood garde encore le même moteur graphique que les deux précédents épisodes, et même si les graphismes ont été améliorés, il reste cependant quelques bugs. On aurait pu s’attendre à mieux pour ce troisième volet.

GAMEPLAY

De nombreuses nouveautés encore une fois niveau gameplay! Ezio a accès à une nouvelle arme : l’arbalète. Très utile pour tuer à distance dans la plus grande discrétion. Il pourra aussi recruter de nouveaux assassins parmi le peuple pour l’aider dans certaines missions difficiles et s’il n’en a aucune utilité, il pourra toujours les envoyer en mission au quatre coins du monde pour se faire un peu d’argent, mais attention, ils risquent de mourir et il faudra remplacer les pertes par de nouvelles recrues… Mais vos ennemis ne comptent pas se laisser faire! Ils se diversifient et on a le droit à de nouveaux types de gardes, avec arbalètes, fusils, etc.. De quoi rendre les combats un peu plus intéressants, mais globalement toujours aussi simples (surtout avec l’ajout du coup de pied qui casse toute garde ennemie).

BANDE SON

Les doublages français sont corrects et cette fois-ci, on a le droit à plusieurs langues pour les doublages : Anglais, Français, Italien, etc… De plus, comme d’habitude, les thèmes musicaux sont de grande qualité.

SCENARIO

La suite directe de Assassin’s Creed II, après Florence et Venise, c’est au tour de Rome d’accueillir notre assassin afin de reprendre le contrôle de la ville aux mains des Borgia. Mais après les révélations faites dans le volet précédent, on aurait aimé faire plus de découvertes afin de mieux comprendre l’histoire. Mais là, ce volet ne fait que nous redire des choses que l’on connaît déjà sans jamais vraiment avancer dans l’histoire. Donc, ne vous attendez pas à une révélation dans le scénario. Même la fin est décevante…

Ce troisième volet d’Assassin’s Creed est certes une réussite, mais seulement pour ses améliorations dans le gameplay et son mode multijoueurs. Car mis à part cela, les graphismes restent encore très proches des deux anciens volets, et ils commencent à se faire vieux. Le scénario de ce volet n’a aucun intérêt dans l’avancée de l’histoire de la série. De plus, même si les combats sont plus intéressants, ils restent cependant toujours aussi simples.

RECRUTER DES ASSASSINS
PLUSIEURS MISSIONS SECONDAIRES ORIGINALES
BON MODE MULTIJOUEUR

UNE SEULE VILLE : ROME
SCÉNARIO DÉCEVANT
COMBATS TOUJOURS AUSSI SIMPLES

[TEST] The Elder Scrolls IV – Oblivion sur PS3

Alexis G. — Thu, 27 Jan 2011 12:04:00 +0000

Oblivion… Quatrième volet d’une saga indispensable pour tout grand amateur de jeu de rôle, développé par Bethesda Softwork.
Votre histoire se déroule dans les terres de Tamriel, terre digne des plus grands esprits du style heroic-fantasy. Nous voici dans un cachot humide et sombre, une épée dans une main et une torche dans l’autre. Mais pas le temps de se poser, c’est le début de votre aventure!

Shakespearien…

Si le lancement de l’aventure se fait de manière classique, le scénario évolue et la trame principale devient de plus en plus intéressante. Mais bon une fois dedans, entre les guildes et les différentes quêtes on sais pas où donner de la tête et on ne s’ennuie jamais.
On peut aussi bien sur prendre son temps et évoluer à son rythme.   De plus, la richesse du scénario s’approchant parfois de la patte de Tolkien, il n’y a vraiment rien à redire de ce côté là, la première partie du jeu qui est votre évasion est une sorte de petit lancement dans l’univers de Tamriel vous permettant de créer votre avatar.

Le monde oui, le héros non.

Le jeu ne brille pas par son moteur graphique, les détails ne sont pas très poussés, voir un poil flous mais bon, c’est tellement vaste… presque 30km² de terrain à traverser. Les lieux sont divers et variés entre les donjons et les plaines, tous les décors sont très riches, les jeux de lumières sont magnifiques et les couleurs créent une ambiance magnifique et épique.
Il n’y a pas à dire de ce côté là le jeu n’a donc pas grand chose à se reprocher. Le seul petit défaut du soft sont les personnages, en particuliers leurs visages, ils sont pas trop réussi, voir même pas du tout.

As you want…

Là faut pas hésiter le gameplay est très… très… intuitif, les développeurs ont tout fait pour nous simplifier le jeu tout en étant adapté aux vétérans du RPG habitués aux développements de personnages complexes.   Autrement tout le reste est très complet et on peut enfiler le rôle de son personnage à fond, que vous soyez, un rôdeur, un guerrier ou encore un mage tout est adapté, compétence, équipement et même quêtes.
On retrouve les bases du RPG occidental, on progresse grâce à l’évolution de nos compétences majeures, que l’on dénombre au nombre de 7 (à choisir personnellement au début de votre aventure) qui sont elles même accompagnées de toutes les autres qui par contre n’ont aucune influence sur l’évolution votre niveau.

A long, long time ago.

Le temps… le temps… Si vous êtes prêts à passer du temps sur ce jeu, il vous fournira tout ce qu’il vous faut, vous pouvez bien sur le finir d’une traite, mais c’est tellement mieux de prendre son temps, de réaliser toutes les quêtes annexes, les guildes. Découvrir des donjons, les explorer et vous battre pour votre survie!
Et puis bon on peut toujours y jouer et y rejouer, histoire de revêtir la peau d’un assassin et ensuite devenir un saint. Vous avez à coté bien sur les deux extensions, Shivering Isles et Knights of the Nine et la quantitée indénombrable de mod réalisés par la communautée afin d’enrichir le jeu et perfectionner le jeu.

Epique

Jeremy Soule a fait ici un travail remarquable, les différents thèmes musicaux s’adaptent à toutes les situations, que vous soyez en pleine bataille, acteur d’une scène épique ou même messager de la noirceur, les thèmes sont toujours adaptés et totalement immersifs, les bruitages sont aussi réalistes.
De nouveau un défaut se pose semblable au graphisme, décidément tous se centralisent à la coque des personnages, leurs voix… Comment ne pas émettre un petit rire quand votre interlocuteur change soudain de voix, ou que différents personnages sont doublés par la même personne.?!  Dommage parce que l’on reconnait la voix de Marc Alfos doubleur très connu pour ces doublages de Maximus, Titus Pullo ou encore Atlas dans Bioshock.

Un Elder Scrolls avec la réputation actuel de la série se doit d’être une nouvelle stèle dans le monde du RPG, et le jeu de Bethesda se démarque sans aucun problème! Un jeu qui donne envie, splendide et vous léguant un libre arbitre sans limite, voilà ce qu’est Oblivion. Les traces des précédents opus se font sentir dès vos premiers pas, et l’envie de s’engouffrer dans cet univers se ressent de suite.
Certes quelques petits défauts se font sentir tout au long du jeu, une IA parfois pas très bien réactive et les petits défauts de doublage ou de texte ( du à la traduction ).
Oblivion s’impose ainsi en temps que maitre dans son style, les Ad-ons et les mods ( par les fans ) ne dérogeant pas à la règle en augmentant la force de l’aventure.

LA MUSIQUE…. JUSTE LA MUSIQUE
L’AMBIANCE DIGNE DE TOLKIEN OU MOORCOCK

PARFOIS QUELQUES SACCADES ET UN MANQUE DE FLUIDITÉ.
DE TEMPS EN TEMPS UN TEMPS DE CHARGEMENT VOUS INTERROMPT EN PLEIN DÉPLACEMENT
PORTAGE, EN SOIT, BIDON

[TEST] Avatar the Game sur PS3

Alexis G. — Sun, 21 Nov 2010 00:55:00 +0000

Avec une grosse production telle que Avatar, qui plus est réalisée par James Cameron, un jeu était forcément à prévoir . Pour cette adaptation, c’est Ubisoft qui emporte la licence et nous offre Avatar The Game.
L’avidité des Hommes pour obtenir ce qu’ils veulent, quitte à tout détruire est le thème principal de ce jeu. Vous aurez ainsi le choix entre Asservir, ou Libérer…

Pandora… La boîte de Pandore…

Contrairement au film, le jeu se veut libre et vous propose donc une nouvelle alternative, qui vous permettra soit de joindre la RDA afin de prendre la planète, soit les Na’Vis dans l’espoir de la défendre et qui sais?… de la sauver.

Ainsi présenté, le jeu donne envie, mais… qui dit adaptation, dit jeu peu recherché en général et c’est malheureusement le cas ici… Quelle que soit la faction, les missions sont répétitives, lassantes et on doit accomplir le même but jusqu’à la fin du jeu.
De plus, finir un des scénar’s vous spoile tout les détails de l’autre, tous les journaux audio, les infos et les personnages étant débloqués.

Beauty flowers… Flat flowers…

Le premier point que l’on remarque sans difficulté et avec étonnement, c’est que les rares cinématiques présentes dans le jeu, sont moins bonne qualité que le jeu In-Game. Pourquoi? Parce qu’elles mettent à jour tout les gros défauts du jeu, les plantes plates, des textures franchement moches, et pourtant, la faune a tout ce qui a de plus riche, un soin minutieux a été apporté à cette diversité…

Côté cartographie, c’est vaste, très vaste, mais quand on se retrouve bloqué bêtement devant un mur, ou qu’on a fait un pas de travers et qu’il faut alors se retaper tout le chemin inverse, ça fait mal; très mal…
Des éléments totalement inutiles sont aussi présents, les développeurs se sont cassé la tête à créer plusieurs chambres de lien ou bâtiment totalement VIDES aux quatre coins de la planète; mais par contre on se cogne à de nombreuses reprises sur des murs invisibles…

Une sourie verte… Qui courrait dans l’herbe…

Le jeu s’en tire plutôt bien côté Gameplay, il est nerveux et ne possède que quelques défauts, les développeurs ont eut l’idée de poser un handicap sur chacune des deux races afin de les départager… Ce qui n’est pas forcément une bonne idée vu le malus des humains, vous ne pas pouvez attaquer au corps à corps, alors quand vous vous retrouvez à 1 contre 5 qu’ils sont collés à vous, et qu’en plus la gestion de la caméra de proche est une vrai prise de tête… Bonjour la galère! Du coté des Na’vi, le malus se présente par une faiblesse plus forte contre les dégâts.

Le système d’XP quand à lui est aussi assez anecdotique, on enchaîne les niveaux et on débloque rapidement toute les armes et armures sans vraie personnalisation.
Les quelques passages aériens sont à la limite de l’injouable, il est impossible de réellement viser précisément un ennemi et, quand on tient enfin le bon bout, vous atterrissez et vous retrouvez à terre.

Ambiance spirituelle

On se sent dans la forêt, là y a pas photo c’est l’un des bons points du jeu, on évolue en son sein et on s’y croit vraiment, tout ça grâce à de très bons bruitages. Coté musique elles ne sont pas très nombreuses mais alimentent très bien l’ambiance du jeu.

Par contre si vous jouez à côté de quelqu’un, attention! Parce que vos pétards vont surement en énerver plus d’un !

To be… or not to be?

Comptez une bonne quinzaine d’heures pour venir à bout d’un des scénarios en complétant toutes les missions. En revanche, finir le jeu en lui même sans prendre en compte les missions vous prendra moitié moins de temps pour chacun des deux scénarios.

De plus le jeu propose un petit mini-jeu stratégique afin de vous donner un petit coup de pouce dans votre partie.

En partant du fait qu’il s’agisse d’une adaptation vidéo-ludique d’un film, généralement la seule richesse du jeu se tient dans la matière qu’offre le film a partir duquel il est basé, c’est surement pour cela que Avatar the Game est un jeu qui, malgré ses défauts, se laisse jouer jusqu’au bout.
Mais on se retrouve quand même avec une adaptation anecdotique, qui malgré ses efforts ne se détache pas et ne nous marquera surement pas autant que son grand frère cinématographique.
Le jeu souffrant de beaucoup trop de défauts en tous genres et c’est vraiment dommage…

LE PRINCIPE DE CHOIX DE CAMPAGNE
LA RICHESSE DES DÉCORS

L’HISTOIRE TIMBRE-POSTE
DE GROS PROBLÈME DE GAMEPLAY
LES PLANTES GÉNÉRIQUES EN PAPIER MACHÉS