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Il s’agit bien sûr des Moogles :
Race mascotte de la série Final Fantasy, les Moogles (ou Mogs dans la langue de Molière) sont de petits êtres qui jouent un rôle différent selon l’épisode de la saga. Ils tirent leur nom du japonais Moguri, qui est en fait un regroupement des mots mogura (taupe) et komori (chauve-souris). Les Moogles sont donc moitié taupe, moitié chauve-souris. Cependant, il y a eu une scission dans leur design, avec la création de l’univers Ivalice dans la série FF. Dans ce dernier, les Moogles se sont lapinisés, gagnant par la même occasion plusieurs centimètres.
Maintenant qu’on a abordé la forme, parlons du fond ! A quoi peuvent bien servir ces petites boules de poils à pompon rouge ? A pas mal de choses différentes, figurez-vous. Dans leur première apparition (Final Fantasy III), ils étaient de puissants magiciens employés en tant que gardes du corps. Mais au fil des épisodes, leur espèce a gagné d’autres capacités. On les rencontre en tant que facteurs dans plusieurs épisodes, ou encore ingénieurs (FF XII et FF Tactics Advance). Ils endossent même le prestigieux rôle de point de sauvegarde dans Final Fantasy IX !
Les Moogles ont également la particularité de ponctuer leurs phrases par « kupo », ce qui peut être mignon pour certains, et très énervant pour d’autres. Petite anecdote rigolote : à l’origine, dans Final Fantasy III, ils ne disaient pas « kupo », mais « nyaa », qui est l’équivalent japonais de « miaou ». Ce qui paraît tout à fait logique quand on sait que les Mogs sont des taupes–chauve-souris…
Bref, les Moogles font partie intégrante de l’univers Final Fantasy, mais aussi plus largement de l’univers de Square Enix, et ils ont d’ailleurs été choisis pour apparaître sur le logo des 25 ans de FF !
Nous vous en parlions il n’y a pas longtemps, Naugthy Dog s’attaque à son tour à l’écriture d’un jeu post-apocalyptique. Si The Last of Us restait assez mystérieux jusqu’à aujourd’hui et ne nous montrait que le coté « méchant zombie » de l’histoire, en soit rien de bien neuf à nous mettre sous la dent.
Mais voilà que son nouveau trailer arrive, tout aussi magnifique, ce dernier nous confirme de nouveau l’aspect technique du soft, mais nous en dit un peu plus sur le gameplay: si la mort est à redouter, c’est surtout du coté des vivants qu’il faudra s’inquiéter. Dans ce trailer c’est à un groupe organisé contre lequel nous avons à faire, groupe dont le piège sera vite décelé par Joel qui semble nous réserver encore quelques surprises sur son histoire.
Plus de détails à l’E3…
Oui, l’écran 3D Playstation arrive enfin, pour ceux qui seraient passés à coté de cette technologie qui n’annonce que du bon pour nous autres gamers de la vielle époque, quelques infos: l’accessoire d’abord, l’utilisation de la 3D, oui, ce n’est ici pas l’élément le plus important de cet écran, surtout au vu de la taille (24 pouces), même si on pourra en revanche saluer son prix accessible, de préférence 499€ avec 2 paires de lunettes et les jeux Killzone 3 et Gran Turismo 5 fournis.
Alors quel est l’élément qui rend cet écran indispensable pour un gamer? Et bien il s’agit de sa technologie SimulView, qui permet à deux joueurs, de regarder le même écran… et de voir deux vues différentes! Vous avez dit enfant de l’écran partagé? Et bien oui, si cette technologie (ou semblable à cette dernière chez la concurrence), venait à être démocratisée, cela donnerait peut être envie aux éditeurs de demander à leurs dev de se pencher sur un vrai co-op comme à l’ancienne.
Avec cette MAJ, mes pensées se tournent directement vers l’un de nos rédacteurs et webmaster : Whinze, même si ce dernier aux dernières nouvelles ne possédait pas de PS3, le simple fait que Deus Ex arrive sur la console de SONY devrait le ravir. Cette arrivée va permettre aux plus jeunes ou aux nostalgiques (10€ le jeu) de (re-)découvrir ce monument.
Pour les autres, c’est l’arrivée du dernier lot d’addons pour FFXIII-2, si je n’ai pas eu le temps de m’y pencher pour l’instant, j’espère juste y voir la vraie fin du jeu, pour remédier à l’actuelle arnaque d’un jeu pas si mal que ça.
JEUX (PS3)
PS2
PSOne
Minis
CONTENUS TELECHARGEABLES (PS3)
CONTENUS TELECHARGEABLES (PSVITA)
AVATARS
THÈMES DYNAMIQUES
RÉDUCTIONS DE PRIX
VIDÉOS
Première fois d’ailleurs que je me rendais dans les locaux de chez Microsoft, non pas que je sois en froid avec eux, simplement parce que chez nous, ça a longtemps été SONY rules. Mais c’est sûr que 360 en plus chez moi ne me dérangerais pas le moins du monde.
Enfin bref, une fois arrivé, et grâce à Cocole de ne pas m’être perdu, j’ai pu longtemps observer quelques joueurs s’éclater sur le jeu.
Avec la démo et les différents tests qui pullulent déjà sur le net, il est clair que cet épisode semble avoir appris des erreurs de son grand frère, un peu à l’inverse de FFX-2 qui était sûrement le plus gros foirage possible en terme de suite directe. Apparemment, le principal défaut du jeu que beaucoup lui reprochaient, le coté « couloir » semble avoir disparu, même si il faut avouer qu’il s’agissait du même pattern que FFX et que beaucoup semblent avoir oubliés. Mais ce n’est pas un problème que de l’avoir fait disparaître bien sûr !
Je me suis donc attelé à jouer au jeu, et là, cruel dilemme, deux choix, soit s’attaquer au début du jeu et donc pouvoir confirmer ou infirmer cette rumeur, ou alors attaquer une partie plus avancée où la difficulté du jeu pourrait être mise en avant.
Sur le coup, je n’ai pas réfléchi et j’ai choisi la difficulté, d’une part pour me laisser le suspens du démarrage jusqu’à l’arrivée du jeu, et d’autre part, parce que c’est beaucoup plus fun une fois que les stratégies sont nombreuses et que les compétences sont déjà bien entamées.
Donc, que vaut FFXIII-2 sur cette petite preview ? Et bien que du bon pour l’instant, d’une part, cette difficulté que j’attendais, je l’ai trouvé, non pas parce que l’évolution des personnages était peut être un poil anarchique au moment où j’ai pu prendre en main le jeu, c’est parce que certains ennemis requièrent tout de même de sacrés réflexes et surtout de moins se reposer sur les attaques automatiques.
Autrement, on a le droit à une belle refonte du gameplay, notamment coté crystarium, les choses sont facilitées, peut être un peu trop, on ne choisit plus les branches que l’on veut upgrader, on ne peut choisir que la classe dans laquelle dispatcher les PC, après c’est automatique.
Autre nouveauté, votre équipe se limite à deux personnages humain, le troisième est remplacé par ce qu’on appelle désormais des familiers, créatures que l’on récupère au fil des combats et qui sont affiliées à un style de combat unique, tacticien, ravageur, attaque, chacun a son rôle.
En bref, que du bon, encore merci à Microsoft, Square Enix et sir.Cocole pour nous avoir permis de suivre ce petit évènement convivial et sympathique !
]]>Human Revolution est la préquelle de la série Deus Ex. L’action se déroule en 2027, dans la peau d’Adam Jensen, chef de la sécurité de Sarif Industries, une société basée à Detroit spécialisée dans la recherche sur les augmentations, sortes de prothèses permettant d’accroître les capacités de l’Homme : super-force, meilleure capacité de persuasion, camouflage optique, etc… Alors que Sarif Industries allait annoncer au monde une découverte qui allait révolutionner les augmentations, un petit groupe armé et augmenté attaque le QG de l’entreprise, kidnappe les scientifiques, et vous laisse sur le palier de la mort. David Sarif, votre patron, décide, pour vous sauver, de remplacer vos organes endommagés par des augmentations. A votre réveil, six mois plus tard, vous vous lancez à la recherche de ceux qui ont détruit votre vie, mais pour cela, vous devrez faire face à un complot d’une envergure que vous ne soupçonnez pas (enfin, maintenant que je vous l’ai dit, si..).
Deus Ex reprend la recette qui avait fait le succès du premier épisode : vous êtes libre d’accomplir vos missions de manière bourrine ou infiltration. Pour cela, le level-design vous offre moult passages (conduits d’aération, portes, fenêtres), mais les augmentations que vous choisirez vous aideront aussi. Vous pourrez ainsi obtenir un camouflage optique, la capacité de pirater les portes verrouillées et les PCs, une peau fortifiée pour mieux résister aux balles, etc…(mention spéciale à l’augmentation sociale qui vous permet d’avoir des infos psychologiques sur votre interlocuteur pour le persuader d’obéir à vos ordres). Ces augmentations sont achetées grâce à des points de dynamisation que vous gagnez à chaque niveau d’XP. L’expérience vous récompense pour à peu près tout, que ce soit pour avoir abattu un ennemi ou pour l’avoir assommé ou pour vous être infiltré sans être repéré. Cela vous permet de gagner des levels quelle que soit votre façon de jouer. Hormis ce système d’augmentation, le jeu est assez « classique » (attention, ça n’a rien de péjoratif), c’est un FPS avec l’originalité de passer à la troisième personne lorsque l’on se met à couvert et lors des éliminations au corps à corps. Seul véritable bémol au niveau du gameplay : l’IA. Certes, elle n’est pas catastrophique, mais elle fait vraiment tâche en comparaison du reste. En effet, si on prend le parti pris de jouer bourrin, qu’on tue 10 ennemis de manière pas vraiment discrète et qu’on se cache dans un conduit d’aération, au bout d’un certain temps, vos ennemis vont arrêter de vous chercher… Ça ne m’aurait sûrement pas gêné dans n’importe quel autre jeu, mais quand on atteint un tel niveau de qualité, le moindre petit défaut se voit très bien. De plus, on note avec satisfaction que l’équilibre du jeu est très bon, que l’on soit discret ou bourrin…..sauf contre les boss, qui sont totalement déséquilibrés : il peuvent être simplissimes ou quasi-imbattables (je vous laisse chercher quelques vidéos sur Youtube, c’est assez comique parfois…).
Techniquement, il y a du bon et du moins bon, et je commencerais par le bon. La bande son est vraiment réussie. La VO est vraiment de très bonne facture, les dialogues ne sont jamais ennuyeux ou mal joués. Quant aux musiques, elles collent parfaitement à l’univers, même la petite mélodie jouée avant l’ouverture du menu principale est très réussie ! En somme, que du bon côté audio. Maintenant, passons au moins bon. Graphiquement, c’est moins impressionnant. Loin de moi l’idée de dire que le jeu est moche, mais je m’attendais quand même à mieux pour un jeu de ce standing. Les animations et la qualité des textures laissent vraiment à désirer pour un jeu développé depuis plus de quatre ans… Pour finir sur un point positif, j’aimerais quand même saluer le boulot du studio sur l’ambiance cyberpunk du jeu qui est tout simplement exceptionnelle. Personnellement, le dernier jeu avec une ambiance aussi réussie auquel j’ai joué, c’est Assassin’s Creed. Autant dire que c’est un vrai point fort de ce Deus Ex.
Je ne vais pas tourner autour du pot très longtemps, Deus Ex : Human Revolution est une réussite presque totale. La qualité technique et l’IA l’empêche de s’élever au niveau de jeu culte, mais l’aventure reste exceptionnelle. Un jeu à posséder absolument ! | |
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Contrairement aux graphismes des remakes, ceux de Dragon Quest IX sont une véritable réussite! On retrouve donc les graphismes colorés de Dragon Quest en 3D en ville et en donjon comme à l’extérieur sur la map monde. Les combats sont eux aussi en 3D et proposent de magnifiques animations (pour la DS bien evidemment).
Mais dans cet univers se cache quelques PNJ (Personnage Non-Joueur) qui ne sont pas passés à la 3D. Enfin, rien de vraiment gênant puisque ce sont seulement les PNJ les moins utiles du jeu!
Grande nouveauté dans ce titre : la possibilité de créer son propre héros et ses coéquipiers selon plusieurs choix ( son sexe, sa taille, sa coiffure, etc… ).
Une seconde nouveauté réside sur les équipements qui apparaissent sur nos héros contrairement aux anciens volet où aucun équipement n’était visible sur les héros mis à part quelques costumes et les armes dans Dragon Quest VIII.
Bref, une véritable réussite pour les graphismes de ce Dragon Quest, aussi bien dans les décors et le paysage que dans les combats et pour le Chara-design!
Vous êtes un(e) jeune ange, gardien du petit village de Chérubelle. Votre rôle consiste à aider les habitants du village dans leurs tâches, répondre à leurs prières et les protéger des monstres qui rodent autour du village, tout en sachant que personne ne peut vous voir. Mais cette vie paisible est sur le point de prendre fin! Le QG des anges se fait attaquer lorsque que vous venez faire le rapport de votre journée.
Malheureusement pour vous, après une belle chute, vous vous retrouvez dans le village que vous deviez protéger, mais les villageois vous voient et à ce moment précis, vous comprenez très vite que vous n’êtes plus un ange! Vous partez donc à la recherche d’explications sur ce qui vous est arrivé et sur ce que sont devenus les autres anges.
Mais à cause des nouveautés que propose le titre, le scénario souffre d’un manque totale de personnalité chez le héros. C’est le fait de pouvoir créer son héros et ses coéquipiers qui en n’est la cause, puisque que c’est vous qui créez vos personnages et ils neparlent jamais! Malheureusement, comme dans tout les Dragons Quest, le héros ne dit pas un mot, donc on se retrouve avec toute une équipe qui ne peut rien dire!
Pas très sympa lorsqu’il y a des cinématiques/dialogues où votre interlocuteur parle tout seul… Alors pour combler ce vide, les développeurs ont eu l’idée d’ajouter Stella!Stella c’est une petite fée que seul vous, pouvez voir/entendre! Donc elle commente tout se qui se passe lors des dialogues, mais malheureusement, elle est très relou…
Cependant, elle ajoute un peu de vie aux dialogues (quoique votre interlocuteur et Stella vous parlent alors qu’ils ne se voient pas entre eux, et que vous ne pouvez rien répondre, bref les deux parlent on peut le dire, dans le vent…)
Les combats en tour par tour, un univers avec une map monde sur laquelle on peut se déplacer sur terre, en mer et dans les airs selon l’avancée dans le jeu.
Le système de niveau allant de 1 à 99, plus on gagne de niveau, plus on gagne de points d’aptitudes que l’on peut distribuer au choix dans des compétences d’armes ou encore dans des aptitudes qui dépendent de notre vocation. Car Dragon Quest IX offre la possibilité de changer de vocation avec n’importe lequel de vos personnages autant de fois que vous le voulez et de faire votre choix parmi 12 vocations: 6 de base et 6 autres à débloquer. Chaque vocation à ses propres caractéristiques, et donc un large choix de stratégie pour votre équipe qui va de 1 à 4 personnages.
Quelques changements du coté des équipements aussi : maintenant on a accès à 3 équipements supplémentaires: les gants, les pantalons et les bottes.
De même du coté des armes, on a maintenant le choix entre 3 nouvelles armes: les griffes, les éventails et les bâtons.
Et on a toujours accès à l’alchimie, donc qui dit plus d’équipements dit aussi plus de recettes, donc beaucoup plus d’ingrédients à trouver! Pour faciliter la recherche des ingrédients, on trouve plusieurs points de récolte des ressources dans le jeu.
Encore une autre une nouveauté, les antres: ce sont des mini-donjons! Des labyrinthes au bout desquels se trouvent un boss qui vous donnera accès à une autre antre, et ainsi de suite, le nombre d’antre est illimité et chaque antre possède un nombre d’étage compris entre 1 et 16. Un nom et un niveau allant de 1 à 99 qui détermine la puissance des montres, le boss de l’antre et la rareté des objets à gagner. A noter aussi que Dragon Quest IX propose grâce a ces antres, de ré-affronter les anciens boss deDragon Quest et de gagner les équipements des anciens héros. Bref, un véritable challenge!
Et pour la première fois, Dragon Quest passe au multijoueur! Le mode multijoueur vous permet de jouer jusqu’à 4 ensemble pour faire l’aventure principale ou faire des antres, mais un seul des joueurs avancera dans l’histoire alors que les autres joueurs n’auront fait que l’aider.
Comme vous pouvez vous en douter avec toutes ces nouveautés, dragon quest IX offre une grande durée de vie. Le mode histoire reste dans la moyenne des précédents Dragon Quest. Comptez environ 40-50 heures pour le finir. Mais le meilleur reste les quêtes annexes, les antres qui devraient vous occuper durant plusieurs dizaines d’heures, voir pour les plus courageux, plusieurs centaines d’heures facilement! Il est possible dans Dragon Quest IX d’obtenir des distinctions (des trophées). De quoi encore allonger la durée de vie pour les fan sachant qu’il y a en tout plus de 400 distinctions à obtenir!
Dragon Quest propose environ 120 quêtes annexes, mais part la suite, vous pourreztélécharger grâce au wi-fi plusieurs nouvelle quêtes. En bref, Dragon Quest IX dans les mains d’un fan risquera d’avoir une très longue durée de vie!
Encore une fois c’est du beau travail que nous livre cet opus! Côté son, les compositions sont magnifiques et les bruitages sont bien réalisés. On retrouve aussi les compositions des précédents volets lorsque l’on affronte d’anciens boss (cela devrait rappeler de bons souvenirs à certains)!
Enfin, que dire de plus, la bande son est à l’image du jeu, tout simplement excellente.
Et bien, on a faire à un vrai et bon Dragon Quest, même s’il s’écarte des autres du même titre par son gameplay novateur, il reste fidèle à la série et leur rend un véritable hommage en donnant la possibilité de s’équiper comme les anciens héros ainsi que de ré-affronter les anciens boss sur les mêmes compositions. Tout fan ne peut être que séduit! On ne lui reprochera qu’un seul défaut qui a quand même de l’importance: l’absence de personnalité chez notre héros. Heureusement, cela reste bien peu comparé à toutes les qualités du jeu! Sa durée de vie fait de lui l’un des RPG sur Nintendo DS les plus long. Bref, un jeu excellent et super long, sûrement le meilleur RPG de la console portable de Nintendo! |
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Nous sommes en l’an 2012, le jour précédent la Christmas Eve, tout pourrait sembler radieux si l’on s’arrête là. Mais non ce n’est pas le cas, les Twisted se propagent partout. Ces créatures, apparemment déterminées à annihiler la race humaine, n’éprouvent ni remord, ni chagrin.
C’est là qu’intervient Aya Brea et son épée de Damocles. Car elle elle est la seule à avoir une quelconque chance de battre ces ennemis et de sauver la population mondiale, grâce à la machine d’Overdrive. Elle lui permet de passer d’un corps à un autre, mais aussi bien dans celui de ses alliés que dans celui de l’ennemi pour le tuer.
Mais voilà, même si l’on éprouve un certain intérêt pour le scénario et qu’on essaye de le suivre entièrement, déjà qu’il n’est pas bien garni, les allers et retours dans le temps, pour nous rappeler les précédents évènements qui ont déjà eu lieu, réduisent souvent nos efforts à néant.
On se retrouve vite perdu dans un univers confus et à finalement apprécier uniquement les multiples cinématiques de hautes volées et le charisme de la belle et “douce” Aya.
Pauvre Aya, imaginez vous, vous combattez, sentez la douleur, la mort, mais vous pouvez changer de corps, afin de re-souffrir. Cruel comme destin non?
Heureusement, on a pas mal de lectures (archives) qui nous permettent d’un peu mieux comprendre ce qui ce passe et qui sont tous ces personnages qui entourent Aya.
C’etait osé, mais ça a été fait, le gameplay a eu le droit à une refonte, finis le coté RP, welcome to the TPS (visée auto bien sur). Même si le tout est assez, voir même très, intuitif dés les premiers instants, et que l’on se retrouve à canarder avec joie toutes âmes qui vivent, on se rend vite compte qu’on a pas grand chose à ce mettre sous la dent en fait. Certes le tout est très dynamique, n’offrant que peu de répit durement mérité, mais à la longue, on trouve ça répétitif et plus aussi jovial qu’au début.
Mais heureusement il y a l’Overdrive. Original, intéressant, mais aussi totalement nécessaire, il offre une nouvelle dimension au gameplay. Certes pas de la réflexion, de la stratégie, etc… Mais assez pour détacher le gameplay de la normale.
Outre certains passages assez hard et les différents Boss parfois assez corsés dans certains cas, globalement, au départ vous ne devriez pas trop avoir de problèmes. Une fois que l’on a compris comment affronter chaque ennemi et qu’on a choppé le coup, tout se fait en douceur.
D’ailleurs parlant IA, celle des ennemis à tendance à vous viser en priorité quelque soit la situation: un tank à coté de vous et vous un ridicule flingue dans les mains, et bien vous voilà la cible principale! Celle de vos amis n’est franchement pas mieux, d’une part ils ont tendance à se transformer en plante verte, d’autre part ils ont tendance simplement à vous éjecter de vos couvertures à cause d’un petit manque de place.
Pendant qu’on y est, si les couvertures font… office de couvertures. Les murs ne sont pas compris dedans, petit soucis de collision je dirais. Les tirs ennemis passent à travers
Point noir, on a le droit à un petit, mais petit foutage de gueule: le jeu n’est pas traduit de l’anglais. Anglophobe, passez votre chemin. Bien sur pour les autres, il ne s’agit que d’un détail mineur.
Parce que à coté, bon ok, les décors ne sont pas forcément variés, tout ça à cause de l’univers post-apocalyptique imposé, mais globalement le résultat final est très très plaisant. Les boss sont réfléchis, tous originaux. On a un peu plus d’une demi-dizaine de twisted différents qui au fil de l’aventure auront le droit à une évolution: le changement de couleur. Oui ok critique facile, il faut reconnaître qu’autrement le bestiaire est assez garni.
Et puis il y a Aya, ah la belle Aya, cette jolie demoiselle qui se dénude, volontairement, peu à peu sous le feu ennemi, pour représenter le degré d’usure de la protection, qui d’ailleurs n’a aucun effet réel j’ai l’impression. Mais c’est pendant les cinématiques qu’on l’apprécie le plus, car ces cinématiques sont tout bonnement magnifiques, le rendu, de très bonne qualité, en ferra pâlir plus d’un !
Petite anecdote, si vous pouviez me donner votre avis sur ce personnage? Pour moi il y a pas photo, Borloo is in da place!
On retrouve Yôko Shimomura à la musique, et ça, ça fait plaisir, même si je n’avais pu profiter des morceaux des volets précédents que par Youtube. On retrouve dans The Third Birthday le même style, très agencé et collant pile poil à la fois avec le rythme et l’ambiance dure du soft. Très psychédélique à certains moments même.
Le fait de ne pas avoir traduit ici est peut être pas un mal (quoi qu’ils se seraient sûrement contentés d’un sous titrage à l’arrache).
La durée de vie d’une partie peut être assez courte, 7 chapitres, soit environ 9h de jeu pour un novice comme moi, quoi qu’elle offre une certaine difficulté sur certains passages.
Mais The Third Birthday offre une certaine rejouabilité. Le jeu met à notre disposition, beaucoup, beaucoup d’armes, qui, régencées par les BP, la “monnaie” du jeu, ne seront jamais toutes en votre possession dés la première partie.
L’autre intérêt est le “scoring” pur et dur, la recherche de la lettre parfaite à la fin des différents chapitres. Le défi simplement en fait.
Pour un amateur comme moi qui n’ai jamais joué à un Parasite Eve, me voilà comblé, un jeu original, avec un pincé de difficulté, un pur régal. On regrettera seulement le scénario quelque peu, bout-en-train. Ma prochaine mission, faire Parasite Eve 1&2. | |
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Comme tout les épisodes du genre, Final Fantasy XIII nous fait découvrir un nouvel univers fantastique. Le scénario est divisé enplusieurs chapitres, dans lesquels vous incarnez plusieurs groupes de héros, et dont les chemins sont destinés à se croiser au cours de l’histoire. Mais autant l’histoire personnelle des héros est assez développée et se complète tout au long de l’histoire, autant l’histoire principale est plutôt légère! Enfin, pour ceux qui auraient du mal à suivre le scénario, une option est disponible afin d’obtenir des résumés de l’histoire.
L’un des points fort du jeu, Final Fantasy XIII propose de magnifiques graphismes à travers toute l’aventure aussi bien au niveau des décors et paysages qu’au niveau des personnages. De plus, l’intégralité des cinématiques est en HD ! Que demander de plus ? MAIS d’une console à l’autre, Final Fantasy XIII perd de sa qualité et voit ses cinématiques en HD sur la console de Sony passé en une qualité bien plus médiocre sur la console de Microsoft ( et sur 3 CD en plus… )
Vraiment différent des épisodes de la série, le Gameplay de Final Fantasy XIII est ce qui le rend original et innovant. Surtout son système de combat en temps réel, proche des derniers opus (FF X-2, FF XII) de la saga : au lieu que chacun des personnages ait un tour de jeu, ils ont une barre d’action qui se remplit plus ou moins vite et leur permet de réaliser une ou des action(s) en consommant cette barre. De plus, les personnages évoluent selon un arbre de compétences: « le crystarium » qui leur permet d’apprendre d’autres rôles et compétences. Et chaque rôle permet au personnage de réaliser des actions bien précises ( soigner, taper, etc… ). De plus, le joueur peut assigner plusieurs combinaisons de rôle à son équipe! Ce qui permet d’adopter des stratégies différentes selon l’ennemi. Ainsi, même si le système de combat semble bien réalisé, il reste très différent de celui des anciens Final Fantasy, et ne plaira probablement pas à tout le monde.
Final Fantasy XIII ne propose que des doublages anglais, mais une traduction sous titrée française est tout de même disponible. Sinon la bande son reste correcte! Plusieurs musiques de bonne qualité qui se diversifient selon les lieux et l’avancée dans l’histoire. De plus, la musique “thème” du jeu n’est pas la même que celle de la version japonaise ( après c’est une question de goût )!
Une bonne durée de vie comme la plupart des RPG, Final Fantasy XIII vous occupera plus d’une quarantaine d’heures pour terminer l’histoire principale, en comptant les nombreuses cinématiques du jeu et les 20 premières heures guidées. A noter que Final Fantasy XIII propose plusieurs quêtes annexes dont des mini-jeux et de nombreuses missions de chasse. Mais cela reste léger et très répétitif comparé à la majorité des jeux de ce genre.
Final Fantasy XIII,dernier opus de la saga, bien que très différent comparé aux anciens volets ( peut être trop pour certains ?) nous propose un tout nouveau RPG avec un système de combat dynamique et innovant, ainsi que des graphismes à couper le souffle (surtout sur PS3 ). Même s’il ne plaira pas à tout le monde à cause de sa linéarité durant les 20 premières heures de jeu, ou du fait qu’il est trop différent des anciens jeux, il reste tout de même l’un des RPG qui mérite qu’on s’y intéresse. | |
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Dès l’introduction nous voilà happé directement dans l’histoire, le ton est directement donné, le monde est détruit, les villes ne sont plus que ruines et la technologie n’est plus. ( Le rapport avec Drakengard se fait d’ailleurs sentir. ) Vous perdez alors le seul être à vos cotés, votre fille. Vous vous réveillez ensuite plus d’un siècle plus tard dans la peau d’un personnage étrangement similaire s’occupant lui aussi de sa fille gravement malade et tombant sur un livre très étrange doté de parole…
Les personnages vous accompagnant ont chacun un caractère unique (tout comme vous).
En gros, on à la jeune fille au langage vulgaire contre le gros balèze doux comme un agneau et, entre les deux, le bouquin égocentrique.
A coté de l’histoire on peut trouver de nombreuses quêtes ainsi que des « mini-jeux » ( pêche, jardinage… ).
Enfin, les clins d’oeil sont très agréables, en particulier ceux lancés aux joueurs de Zelda..
Le style de Nier est très très spécial. J’entends par là le style qui vous plaira ou non, pas d’entre deux: soit c’est beau, soit c’est moche. Les jeux de lumières et de flou/netteté ( parfois très mal gérés ) sont très encrés dans l’ambiance du jeu. Mais ce qui aura le même effet pour tous c’est son ambiance générale, agréable, « touchante », malgré les effusions de sang à la GOW dans tous les sens pendant les combats. Et à part les quelques ratés niveau level design, murs invisibles, reconversion en mimes contre une échelle, le jeu s’en sort pas mal.
Ce qui marque par contre d’entrée de jeu et qui d’ailleurs pourra en choquer plus d’un, c’est la tronche de notre héros ( on sent qu’il a vécu et qu’il en a prit pas mal )…Il se trouve ainsi loin de tous les personnages stéréotypés habituels des RPG japonais.
D’ailleurs cette caractéristique ne s’applique pas seulement à lui mais aussi aux autres personnages, telle qu’une jeune fille arborant des tenues pour le moins… légères…
Ce point s’applique aussi au chara-design des monstres abordant un style à la ICO tout simplement magnifique.
Le gameplay est « original ». Pourquoi entre guillemets ? Parce qu’il est original par rapport aux autres RPG/beat’em’all de notre génération mais qu’il reprend le style de progression des premiers Zelda. On a donc une avancée continuelle tout du long qui ne nous empêche pas pour autant de profiter du jeu au moment de l’action. ( Quelle joie de tailler du mouton tout mignon! )
Les Boss quant à eux sont simplement épiques, tous différents, tous impressionnants, tous convaincants et l’on a plaisir à se battre contre eux et à en baver méchamment. Par contre coté IA c’est pas génial, vos compagnons sont quelques peu mou du bulbe et ne réagissent pas toujours de manière très pertinente.
C’est là le genre de bande son que l’on n’entend plus beaucoup, celle que l’on a plaisir à écouter en dehors du jeu…
Il faut avouer que Okabe Keiichi a fait un boulot magistral, elle est agréable et nous emporte très rapidement dans l’univers Nier.
Les bruitages eux sont très réalistes et le fait d’avoir gardé les doublages originaux est une très bonne idée, les voix collent parfaitement aux caractères des différents personnages. Et puis bon, on ne peut pas s’empêcher de sourire quand les insultes pleuvent à moult occasions…
Le jeu nous offre une durée de vie plus que conséquente et de manière très originale.
Adieu la partie unique hyper longue, bonjour le jeu en 4 parties à découverte progressive. Car oui à chaque fois que vous finissez le jeu, une nouvelle fin vous attend sur votre prochaine partie! Mais si ce n’était que ça? À quoi bon?
Ce qui ce détache vraiment, c’est le fait que vous découvrez qu’il n’y a pas de Bien ou de Mal au fil des parties… Que vous n’êtes peut être pas le gentil ? Ou tout du moins pas autant que vous l’espériez…
Concernant une partie, elle se coupe en deux phases totalement distinctes, vous amenant à redécouvrir certaines zones d’une autre manière.
Les quêtes annexes proposées sont quant à elles parfois franchement anecdotiques.
Prenez l’ambiance de ICO, le style narratif de final fantasy et enfin le gameplay des premiers Zelda, mettez le tout dans un mixeur, mixez et vous obtenez Nier! Mais avant tout, il faut se tenir prêt à ne peut être pas aimer, voir détester le choix graphique. Et un scénario comme on aimerait en voir plus souvent… |
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Un scénario pas trop mauvais, mais plutôt simpliste, vous êtes au XXIème siècle, vous appartenez à une organisation qui a pour but de découvrir une nouvelle planète, la FRS, pour les habitants de la Terre qui a alors été rendue inhabitable par une terrible guerre.
Même si le scénario semble bien realisé à première vue, il progresse sans trop de logique, et l’on se retrouve à aider une planète puis une autre, sans jamais décider d’où l’on veut aller, pour finalement être embarqué dans une mission de sauvetage de l’univers. De plus, vous aurez la possibilité d’obtenir selon vos affinités avec vos coéquipiers plusieurs fins alternatives.
Les graphismes ne sont pas à la hauteur du titre. Bien que l’univers de Star Ocean – The Last Hope soit magnifique, on ne remarque que peu de changements de paysages d’une planète à une autre, et certains donjons se ressemblent du début à la fin, sans réelles évolutions graphiques.
Mais le véritable problème vient des personnages, plutôt bien faits dans l’ensemble, jusqu’à ce qu’ils se mettent à parler… Et il sera difficile d’ignorer leurs visages totalement inexpressifs.
Stars Ocean offre un système de combat en temps réel, dynamique et fluide avec la possibilité d’esquiver les attaques ennemies, de sauter et d’attaquer avec une multitude de sorts et d’aptitudes propres à chaque personnage.
Ce système propose aussi plusieurs tactiques pour chaque personnage et même la possibilité d’en changer en plein combat. De plus il est possible de modifier l’angle de la caméra pour avoir une meilleure vue ducombat. Mais il reste un défaut, celui de la difficulté de changer de cible lors d’un combat.
Le jeu propose plusieurs bonnes musiques pour chaque lieu; le défaut vient plus du doublage mal réalisé. De plus le jeu ne propose qu’une version anglaise des voix qui n’est pas à la hauteur du titre, et le tout est accentué par les visages ratés des personnages…
Comme la plupart des RPG, Star Ocean – The Last Hope vous demandera plus d’une quarantaine d’heures pour être simplement fini et au moins deux cents heures pour être fini intégralement (quêtes et donjons optionnels ) dans le mode de difficulté basique. Le jeu propose une multitude de quêtes et de donjons annexes, ainsi qu’un système de création d’objets complet, qui vous occuperont plusieurs heures. Une fois le jeu fini vous pourrez débloquer de nouveaux modes de difficulté, de quoi occuper le hardcore gamer qui sommeil en vous.
Star Ocean – The Last Hope n’est sûrement pas le meilleur RPG de l’année 2009, à cause de son scénario trop simple et du chara-desing quelque peu raté, mais ils vous occupera durant plusieurs heures avec son système de combat sympathique et fluide, ainsi que son incroyable contenu. . | |
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