?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?> PixAgain » RPG http://pixagain.org Critiques, Tests, Avis, Dossiers, Previews... Mon, 18 Nov 2013 23:50:41 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.7.1 [TEST] Skyrim – Dawnguard sur Xbox360 /test-skyrim-dawnguard-sur-xbox360/ /test-skyrim-dawnguard-sur-xbox360/#comments Sun, 09 Sep 2012 22:15:33 +0000 /?p=6373 Dawnguard est la première extension de The Elder Scrolls V : Skyrim. Commercialisée à une vingtaine d’euros, elle nous propose un nouveau scénario autour de la garde de l’aube et des vampires. Mais après le succès incontestable de Skyrim, cette nouvelle extension se doit d’être parfaite ! Alors Dawnguard réussira-t-il à se démarquer des nombreuses quêtes déjà existantes ?

Côté scénario, l’histoire commence lorsqu’un mystérieux homme vient vous parler et vous propose de le rejoindre dans la Garde de l’aube, une garde spécialisée dans la chasse aux vampires. Vous rejoignez alors une guerre entre vampires et Garde de l’aube. Lors de votre première mission, le choix de rejoindre les vampires ou de rester avec la Garde se fait un peu vite et sans trop d’explication. Chaque camp possède ses avantages : d’un côté, les vampires pourront faire de vous un seigneur vampire, et de l’autre coté, la Garde de l’aube vous donnera accès à de nouveaux équipements parmi lesquels la toute nouvelle arme : l’arbalète, rien de plus qu’un arc sans zoom et plus lent. Les deux scénarios vont vous amener à découvrir deux nouvelles zones, le val oublié et le cairn des âmes. Ces deux zones sont plutôt grandes, mais alors que le val oublié profite d’une bonne réalisation artistique avec de nouveaux animaux et ennemis, que le cairn des âmes est terriblement vide, c’est une immense zone plate avec quelques squelettes qui traînent un peu partout…

Le scénario en général est assez décevant, il souffre d’un background assez léger, et mis à part un seul personnage, tous les autres font de la figuration. Le dernier défaut dans le scénario, et pas des moindre, est la fin de celui-ci : dans tous les cas, la fin reste la même peu importe les choix faits, c’est assez dommage surtout qu’on a du mal à comprendre pourquoi rejoindre un camp si c’est pour en arriver à la même fin… Heureusement la durée de vie reste correcte, il faut compter une dizaine d’heures pour finir le scénario principal, pour une extension ça reste acceptable, mais pour son prix c’est une autre histoire.

Mais heureusement Dawnguard n’est pas seulement une quête dont le scénario est bâclé, on note aussi plusieurs petites améliorations dans le gameplay. La première, que l’on remarque assez vite, est l’ajout de quelques nouveaux crafts dont la possibilité de fabriquer ses propres flèches, ce qui devrait fortement intéresser tous les archers (plus besoin de récupérer les flèches sur les cibles des gardes pour éviter de les payer ^^ ) ainsi que les nouvelles armes les plus puissantes du jeu, les armes draconiques.

Autre nouveauté, les arbres de compétences pour vampire et loup garou. Ces deux nouveaux arbres de compétences permettent d’obtenir des pouvoirs supplémentaires lorsque vous êtes sous l’une de ces deux formes. L’arbre se remplit avec des points que l’on obtient en utilisant sa forme de vampire ou de loup. Toutefois ces nouvelles compétences ne sont qu’un petit bonus, car même si elles rendent les deux formes plus attractives, elles n’en demeurent pas moins peu utilisées puisque l’on préfère se battre sous sa vraie forme plutôt que sous l’une des deux formes peu pratiques à jouer. Pour donner un exemple assez flagrant, en seigneur vampire impossible de passer les portes car vous êtes trop grand, donc on doit se retransformer à chaque obstacle… et ça devient vite chiant !

Dawnguard a eu une tâche assez dure, après le succès de Skyrim on en attendait peut être trop de cette extension. Et malheureusement le résultat est bien en dessous de nos attentes. Le scénario qui aurait pu être original est au final bâclé. On se retrouve donc avec une nouvelle quête dans le même genre que celle des compagnons, confrérie noire, etc… une grande quête certes assez intéressante, mais pour une extension qui coûte la moitié du jeu, on aurait préféré quelque chose de plus innovant ou de plus long. A ce prix là on préférera rester sur les quêtes déjà existantes.
  • Encore plus de Skyrim !
  • Compétences vampire et loup-garou
  • nouveaux crafts
  • Scénario moyen
  • durée de vie courte pour du skyrim
  • Le prix
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[TEST] Deus Ex : Human Revolution sur PC /test-pc-deus-ex-human-revolution/ /test-pc-deus-ex-human-revolution/#comments Sat, 17 Sep 2011 15:47:38 +0000 /?p=1702 Il y a maintenant 11 ans, le studio Ion Storm nous proposait un petit chef-d’oeuvre vidéoludique : Deus Ex. Ce FPS mêlant RPG, action et infiltration avait surpris par la liberté qu’il offrait au joueur. Après un second épisode qui avait grandement déçu les fans du premier opus, Eidos Montréal se voit confier le développement du troisième volet : Deus Ex : Human Revolution. La pression sur le studio québécois était très forte, autant de la part de la presse spécialisée que des fans de Deus Ex premier du nom. Ont-ils réussi à créer le chef-d’oeuvre tant attendu ? Réponse dans ce test !

Scénario

Human Revolution est la préquelle de la série Deus Ex. L’action se déroule en 2027, dans la peau d’Adam Jensen, chef de la sécurité de Sarif Industries, une société basée à Detroit spécialisée dans la recherche sur les augmentations, sortes de prothèses permettant d’accroître les capacités de l’Homme : super-force, meilleure capacité de persuasion, camouflage optique, etc… Alors que Sarif Industries allait annoncer au monde une découverte qui allait révolutionner les augmentations, un petit groupe armé et augmenté attaque le QG de l’entreprise, kidnappe les scientifiques, et vous laisse sur le palier de la mort. David Sarif, votre patron, décide, pour vous sauver, de remplacer vos organes endommagés par des augmentations. A votre réveil, six mois plus tard, vous vous lancez à la recherche de ceux qui ont détruit votre vie, mais pour cela,  vous devrez faire face à un complot d’une envergure que vous ne soupçonnez pas (enfin, maintenant que je vous l’ai dit, si..).

Gameplay

Deus Ex reprend la recette qui avait fait le succès du premier épisode : vous êtes libre d’accomplir vos missions de manière bourrine ou infiltration. Pour cela, le level-design vous offre moult passages (conduits d’aération, portes, fenêtres), mais les augmentations que vous choisirez vous aideront aussi. Vous pourrez ainsi obtenir un camouflage optique, la capacité de pirater les portes verrouillées et les PCs, une peau fortifiée pour mieux résister aux balles, etc…(mention spéciale à l’augmentation sociale qui vous permet d’avoir des infos psychologiques sur votre interlocuteur pour le persuader d’obéir à vos ordres). Ces augmentations sont achetées grâce à des points de dynamisation que vous gagnez à chaque niveau d’XP. L’expérience vous récompense pour à peu près tout, que ce soit pour avoir abattu un ennemi ou pour l’avoir assommé ou pour vous être infiltré sans être repéré. Cela vous permet de gagner des levels quelle que soit votre façon de jouer. Hormis ce système d’augmentation, le jeu est assez « classique » (attention, ça n’a rien de péjoratif), c’est un FPS avec l’originalité de passer à la troisième personne lorsque l’on se met à couvert et lors des éliminations au corps à corps. Seul véritable bémol au niveau du gameplay : l’IA. Certes, elle n’est pas catastrophique, mais elle fait vraiment tâche en comparaison du reste. En effet, si on prend le parti pris de jouer bourrin, qu’on tue 10 ennemis de manière pas vraiment discrète et qu’on se cache dans un conduit d’aération, au bout d’un certain temps, vos ennemis vont arrêter de vous chercher… Ça ne m’aurait sûrement pas gêné dans n’importe quel autre jeu, mais quand on atteint un tel niveau de qualité, le moindre petit défaut se voit très bien. De plus, on note avec satisfaction que l’équilibre du jeu est très bon, que l’on soit discret ou bourrin…..sauf contre les boss, qui sont totalement déséquilibrés : il peuvent être simplissimes ou quasi-imbattables (je vous laisse chercher quelques vidéos sur Youtube, c’est assez comique parfois…).

Graphismes/Bande son

Techniquement, il y a du bon et du moins bon, et je commencerais par le bon. La bande son est vraiment réussie. La VO est vraiment de très bonne facture, les dialogues ne sont jamais ennuyeux ou mal joués. Quant aux musiques, elles collent parfaitement à l’univers, même la petite mélodie jouée avant l’ouverture du menu principale est très réussie ! En somme, que du bon côté audio. Maintenant, passons au moins bon. Graphiquement, c’est moins impressionnant. Loin de moi l’idée de dire que le jeu est moche, mais je m’attendais quand même à mieux pour un jeu de ce standing. Les animations et la qualité des textures laissent vraiment à désirer pour un jeu développé depuis plus de quatre ans… Pour finir sur un point positif, j’aimerais quand même saluer le boulot du studio sur l’ambiance cyberpunk du jeu qui est tout simplement exceptionnelle. Personnellement, le dernier jeu avec une ambiance aussi réussie auquel j’ai joué, c’est Assassin’s Creed. Autant dire que c’est un vrai point fort de ce Deus Ex.

Je ne vais pas tourner autour du pot très longtemps, Deus Ex : Human Revolution est une réussite presque totale. La qualité technique et l’IA l’empêche de s’élever au niveau de jeu culte, mais l’aventure reste exceptionnelle. Un jeu à posséder absolument !
  • L’univers exceptionnel
  • La bande son
  • Un gameplay équilibré…
  • …sauf contre les boss
  • Limite techniquement
  • Une IA parfois aux fraises
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[TEST] Tales of Vesperia sur Xbox 360 /test-tales-of-vesperia-sur-xbox/ /test-tales-of-vesperia-sur-xbox/#comments Fri, 06 May 2011 21:01:00 +0000 /wordpress/?p=118  

Mon tout premier « Tales of » après les…hum… nombreux Tales of sortis^^. Puis en tant que fan de RPG, il fallait bien que je joue à l’un d’eux!

Bref, dernier volet de la longue saga des « Tales of » de Namco Bandai, et tout premier Tales of à être sorti sur la console de Microsoft, Tales of Vesperia est un RPG avec un système de combat en temps réel ( un peu dans le même genre que Stars Ocean 4).


SCENARIO

L’histoire se déroule sur Terca Lumireis, le monde de Tales of Vesperia. Vous incarnez Yuri Lowell, ancien soldat plutôt rebelle au caractère assez sombre. L’histoire commence avec le vol de l’Aqua-Bastia de votre quartier. Les bastias sont des pierres rares qui permettent d’utiliser l’Aer ( l’énergie ) qui se trouve dans l’air. Il existe plusieurs type de bastia : certains servent de bouclier pour les villes. Quand à l’aqua-bastia , il permet simplement de faire fonctionner une fontaine. Votre héros et chacun des personnages que vous allez rencontrer posséderont tous un bodhi bastia qui permet d’utiliser l’Aer afin de se battre en lançant des sorts et des attaques spéciales. Bref, en partant à la recherche du bastia volé, vous pourrez comprendre qu’il ne s’agit plus que d’un simple vol, et ainsi, vous vous retrouverez à devoir sauver le monde.

Ce qui fait le charme du scénario, en plus de l’univers riche de Terca Lumireis, ce sont les différents personnages jouables qui possèdent chacun un caractère et une histoire bien à eux. Surtout pour Yuri Lowell qui, contrairement aux personnages principaux des jeux du genre, n’est pas le bon et gentil héros qui aide tout le monde. C’est plutôt le criminel recherché! Pour preuve, vous vous retrouverez en prison après les 10 premières minutes de jeu ^^.


GAMEPLAY

Le gameplay de Tales of Vesperia est assez similaire à celui des RPG japonais. On retrouve donc une map monde sur laquelle on pourra se déplacer sur terre, sur mer et dans les airs selon l’avancée dans l’histoire. Les combats se déroulent en temps réel dans une petite zone avec une équipe de 4 personnages (au maximum) jouables par des joueurs ou par l’ordinateur. Ajouté à cela, un menu de pause pour donner des ordres a vos coéquipiers, utiliser un objet ou encore changer d’arme ( le système de combat ressemble beaucoup à celui de Stars Ocean 4, mais il reste tout de même sur un thème différent ).

Point très important de Tales of Vesperia: chaque arme possède des aptitudes différentes et à force d’utiliser fréquemment une arme, il est possible d’apprendre l’aptitude sans être équipé de celle-ci. Mais on ne peut pas cumuler toutes les aptitudes que l’on a appris. Il faut en choisir certaines uniquement. Le nombre d’aptitude que l’on peut cumuler dépend du niveau du personnage.

Malheureusement, le gameplay étant très vaste on a accès à son intégralité après une bonne dizaine d’heure…


DUREE DE VIE

Tales of Vesperia offre de longue heures de jeu : en moyenne, comptez 50 heures pour finir le mode histoire tranquillement, sans passer par les quelques petites quêtes annexes qui n’apportent pas toujours grand chose, mais qui allongent la durée de vie.

Puis, lorsqu’on a fini le jeu, Tales of Vesperia propose de recommencer une nouvelle partie avec des bonus ou des malus en plus ( du genre: multiplier par 10 l’expériences reçus, la diviser par 2, ou encore obtenir le dernier mode de difficulté, garder ses équipements, etc… ). Ces bonus/malus s’achètent avec des points que l’on obtient à la fin de chaque combat selon la qualité du combat. De plus, cette nouvelle partie débloque des quête annexes!


GRAPHISME

Des graphismes très colorés, un peu de style manga. On croirait vraiment vivre un animé japonais en jouant à Tales of Vesperia. Certaines cinématiques sont même de véritables animés! Le chara-design est plutôt réussi lui aussi, et chaque personnage à accès à plusieurs tenues et accessoires à débloquer dans le jeu.

Mais petit inconvénient : lorsqu’on est en ville ou en donjon, la caméra reste immobile, elle change d’emplacement quand vous vous déplacez mais impossible de la déplacer manuellement…
Bref, c’est dommage d’avoir un problème de caméra lorsqu’on à des graphismes aussi réussis.


BANDE SON

La version française du jeu ne propose que des voix anglaises ( sous-titré bien sur ). Le doublage est certes, plutôt réussi même si les voix japonaises n’auraient pas fait de mal. Enfin, mis à part cela, le reste est tout simplement excellent ! Niveau composition, en plus d’y en avoir beaucoup, sont de très grande qualité!

Tales of Vesperia devrait vous offrir de nombreuses heures de jeu passionnantes du fait de son scénario ainsi que de ses personnages attachants, ses graphismes à la japanime, ou encore ses magnifiques compositions! Tales of Vesperia est une réussite à peu près partout. Il a, certes, quelques défauts, comme la caméra immobile en dehors des combats, ou encore celle de proposer seulement des voix anglaises. Mais ces petits défauts passent vite inaperçus à coté de l’immensité du jeu.
  • GRAPHISMES A LA “JAPANIME”
  • SYSTEME DE COMBAT
  • CHARA-DESIGN
  • DONJON OPTIONNEL SEULEMENT EN 2e PARTIE
  • VOIX ANGLAISE
  • CAMÉRA HORS COMBAT IMMOBILE
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[TEST] Dragon Quest IX sur DS /test-dragon-quest-9-ds/ /test-dragon-quest-9-ds/#comments Sun, 24 Apr 2011 06:00:00 +0000 /wordpress/?p=11 La série des Dragon Quest est parue en Europe lors de la sortie de Dragon Quest VIII. Elle a connue un véritable succès grâce à ce dernier. On a donc eu le droit ensuite aux remakes des anciens Dragon Quest ( le IV, V et le VI ) sur la console portable de Nintendo.
Puis maintenant, c’est au tour du neuvième épisode de sortir lui aussi sur nintendo DS. C’est le premier Dragon Quest à sortir directement sur cette console. Beaucoup de nouveautés ont été ajoutées à la série dans ce titre, dont un mode multijoueur.
Mais est-ce que ce neuvième épisode sera à la hauteur de cette série et connaîtra-il le même succès que son prédécesseur?

GRAPHISME

Contrairement aux graphismes des remakes, ceux de Dragon Quest IX sont une véritable réussite! On retrouve donc les graphismes colorés de Dragon Quest en 3D en ville et en donjon comme à l’extérieur sur la map monde. Les combats sont eux aussi en 3D et proposent de magnifiques animations (pour la DS bien evidemment).
Mais dans cet univers se cache quelques PNJ (Personnage Non-Joueur) qui ne sont pas passés à la 3D. Enfin, rien de vraiment gênant puisque ce sont seulement les PNJ les moins utiles du jeu!

Grande nouveauté dans ce titre : la possibilité de créer son propre héros et ses coéquipiers selon plusieurs choix ( son sexe, sa taille, sa coiffure, etc… ).
Une seconde nouveauté réside sur les équipements qui apparaissent sur nos héros contrairement aux anciens volet où aucun équipement n’était visible sur les héros mis à part quelques costumes et les armes dans Dragon Quest VIII.
Bref, une véritable réussite pour les graphismes de ce Dragon Quest, aussi bien dans les décors et le paysage que dans les combats et pour le Chara-design!


SCENARIO

Vous êtes un(e) jeune ange, gardien du petit village de Chérubelle. Votre rôle consiste à aider les habitants du village dans leurs tâches, répondre à leurs prières et les protéger des monstres qui rodent autour du village, tout en sachant que personne ne peut vous voir. Mais cette vie paisible est sur le point de prendre fin! Le QG des anges se fait attaquer lorsque que vous venez faire le rapport de votre journée.
Malheureusement pour vous, après une belle chute, vous vous retrouvez dans le village que vous deviez protéger, mais les villageois vous voient et à ce moment précis, vous comprenez très vite que vous n’êtes plus un ange! Vous partez donc à la recherche d’explications sur ce qui vous est arrivé et sur ce que sont devenus les autres anges.

Mais à cause des nouveautés que propose le titre, le scénario souffre d’un manque totale de personnalité chez le héros. C’est le fait de pouvoir créer son héros et ses coéquipiers qui en n’est la cause, puisque que c’est vous qui créez vos personnages et ils neparlent jamais! Malheureusement, comme dans tout les Dragons Quest, le héros ne dit pas un mot, donc on se retrouve avec toute une équipe qui ne peut rien dire!
Pas très sympa lorsqu’il y a des cinématiques/dialogues où votre interlocuteur parle tout seul… Alors pour combler ce vide, les développeurs ont eu l’idée d’ajouter Stella!Stella c’est une petite fée que seul vous, pouvez voir/entendre! Donc elle commente tout se qui se passe lors des dialogues, mais malheureusement, elle est très relou…
Cependant, elle ajoute un peu de vie aux dialogues (quoique votre interlocuteur et Stella vous parlent alors qu’ils ne se voient pas entre eux, et que vous ne pouvez rien répondre, bref les deux parlent on peut le dire, dans le vent…)

GAMEPLAY

Les combats en tour par tour, un univers avec une map monde sur laquelle on peut se déplacer sur terre, en mer et dans les airs selon l’avancée dans le jeu.
Le système de niveau allant de 1 à 99, plus on gagne de niveau, plus on gagne de points d’aptitudes que l’on peut distribuer au choix dans des compétences d’armes ou encore dans des aptitudes qui dépendent de notre vocation. Car Dragon Quest IX offre la possibilité de changer de vocation avec n’importe lequel de vos personnages autant de fois que vous le voulez et de faire votre choix parmi 12 vocations: 6 de base et 6 autres à débloquer. Chaque vocation à ses propres caractéristiques, et donc un large choix de stratégie pour votre équipe qui va de 1 à 4 personnages.

Quelques changements du coté des équipements aussi : maintenant on a accès à 3 équipements supplémentaires: les gants, les pantalons et les bottes.
De même du coté des armes, on a maintenant le choix entre 3 nouvelles armes: les griffes, les éventails et les bâtons.
Et on a toujours accès à l’alchimie, donc qui dit plus d’équipements dit aussi plus de recettes, donc beaucoup plus d’ingrédients à trouver! Pour faciliter la recherche des ingrédients, on trouve plusieurs points de récolte des ressources dans le jeu.

Encore une autre une nouveauté, les antres: ce sont des mini-donjons! Des labyrinthes au bout desquels se trouvent un boss qui vous donnera accès à une autre antre, et ainsi de suite, le nombre d’antre est illimité et chaque antre possède un nombre d’étage compris entre 1 et 16. Un nom et un niveau allant de 1 à 99 qui détermine la puissance des montres, le boss de l’antre et la rareté des objets à gagner. A noter aussi que Dragon Quest IX propose grâce a ces antres, de ré-affronter les anciens boss deDragon Quest et de gagner les équipements des anciens héros. Bref, un véritable challenge!

Et pour la première fois, Dragon Quest passe au multijoueur! Le mode multijoueur vous permet de jouer jusqu’à 4 ensemble pour faire l’aventure principale ou faire des antres, mais un seul des joueurs avancera dans l’histoire alors que les autres joueurs n’auront fait que l’aider.


DUREE DE VIE

Comme vous pouvez vous en douter avec toutes ces nouveautés, dragon quest IX offre une grande durée de vie. Le mode histoire reste dans la moyenne des précédents Dragon Quest. Comptez environ 40-50 heures pour le finir. Mais le meilleur reste les quêtes annexes, les antres qui devraient vous occuper durant plusieurs dizaines d’heures, voir pour les plus courageux, plusieurs centaines d’heures facilement! Il est possible dans Dragon Quest IX d’obtenir des distinctions (des trophées). De quoi encore allonger la durée de vie pour les fan sachant qu’il y a en tout plus de 400 distinctions à obtenir!
Dragon Quest propose environ 120 quêtes annexes, mais part la suite, vous pourreztélécharger grâce au wi-fi plusieurs nouvelle quêtes. En bref, Dragon Quest IX dans les mains d’un fan risquera d’avoir une très longue durée de vie!

BANDE SON

Encore une fois c’est du beau travail que nous livre cet opus! Côté son, les compositions sont magnifiques et les bruitages sont bien réalisés. On retrouve aussi les compositions des précédents volets lorsque l’on affronte d’anciens boss (cela devrait rappeler de bons souvenirs à certains)!
Enfin, que dire de plus, la bande son est à l’image du jeu, tout simplement excellente.

Et bien, on a faire à un vrai et bon Dragon Quest, même s’il s’écarte des autres du même titre par son gameplay novateur, il reste fidèle à la série et leur rend un véritable hommage en donnant la possibilité de s’équiper comme les anciens héros ainsi que de ré-affronter les anciens boss sur les mêmes compositions. Tout fan ne peut être que séduit!
On ne lui reprochera qu’un seul défaut qui a quand même de l’importance: l’absence de personnalité chez notre héros. Heureusement, cela reste bien peu comparé à toutes les qualités du jeu! Sa durée de vie fait de lui l’un des RPG sur Nintendo DS les plus long. Bref, un jeu excellent et super long, sûrement le meilleur RPG de la console portable de Nintendo!
  • DRAGON QUEST EN MODE MULTIJOUEURS
  • DURÉE DE VIE INCROYABLEMENT LONGUE
  • POSSIBILITÉ DE RÉ-AFFRONTER LES ANCIENS BOSS
  • ABSENCE DE PERSONNALITÉ CHEZ LES HÉROS
  • STELLA LA PETITE FÉE NE PLAIRA PAS A TOUT LE MONDE
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[TEST] The Third Birthday – Parasite Eve 3 sur PSP /test-the-third-birthday-parasite-eve-3-psp/ /test-the-third-birthday-parasite-eve-3-psp/#comments Fri, 22 Apr 2011 11:03:00 +0000 /wordpress/?p=20 L’une des premières saga made in Square Soft qui a marquée en son temps la première console de SONY, la Playstation, est bien la saga Parasite Eve.
Malheureusement, comme d’habitude, les boites d’éditions étaient peu enclines à nous importer ces jeux développés au Japon, il a donc fallu attendre l’an 2000 pour voir le second volet, sorti au Japon en 99. L’atout de cette série, outre sa base littéraire (le jeu est adapté d’un roman rédigé par Hideaki Sena), est son ambiance roleplay combiné à un jeu d’action.
Mise de côté pendant un long moment, de nombreuses rumeurs se forgèrent, mettant en avant le troisième volet de la saga, et Square Enix combla ces rumeurs avec The Third Birthday, ou plus simplement Parasite Eve 3.

Scénario

Nous sommes en l’an 2012, le jour précédent la Christmas Eve, tout pourrait sembler radieux si l’on s’arrête là. Mais non ce n’est pas le cas, les Twisted se propagent partout. Ces créatures, apparemment déterminées à annihiler la race humaine, n’éprouvent ni remord, ni chagrin.
C’est là qu’intervient Aya Brea et son épée de Damocles. Car elle elle est la seule à avoir une quelconque chance de battre ces ennemis et de sauver la population mondiale, grâce à la machine d’Overdrive. Elle lui permet de passer d’un corps à un autre, mais aussi bien dans celui de ses alliés que dans celui de l’ennemi pour le tuer.

Mais voilà, même si l’on éprouve un certain intérêt pour le scénario et qu’on essaye de le suivre entièrement, déjà qu’il n’est pas bien garni, les allers et retours dans le temps, pour nous rappeler les précédents évènements qui ont déjà eu lieu, réduisent souvent nos efforts à néant.
On se retrouve vite perdu dans un univers confus et à finalement apprécier uniquement les multiples cinématiques de hautes volées et le charisme de la belle et “douce” Aya.
Pauvre Aya, imaginez vous, vous combattez, sentez la douleur, la mort, mais vous pouvez changer de corps, afin de re-souffrir. Cruel comme destin non?
Heureusement, on a pas mal de lectures (archives) qui nous permettent d’un peu mieux comprendre ce qui ce passe et qui sont tous ces personnages qui entourent Aya.

Gameplay

C’etait osé, mais ça a été fait, le gameplay a eu le droit à une refonte, finis le coté RP, welcome to the TPS (visée auto bien sur). Même si le tout est assez, voir même très, intuitif dés les premiers instants, et que l’on se retrouve à canarder avec joie toutes âmes qui vivent, on se rend vite compte qu’on a pas grand chose à ce mettre sous la dent en fait. Certes le tout est très dynamique, n’offrant que peu de répit durement mérité, mais à la longue, on trouve ça répétitif et plus aussi jovial qu’au début.
Mais heureusement il y a l’Overdrive. Original, intéressant, mais aussi totalement nécessaire, il offre une nouvelle dimension au gameplay. Certes pas de la réflexion, de la stratégie, etc… Mais assez pour détacher le gameplay de la normale.

Outre certains passages assez hard et les différents Boss parfois assez corsés dans certains cas, globalement, au départ vous ne devriez pas trop avoir de problèmes. Une fois que l’on a compris comment affronter chaque ennemi et qu’on a choppé le coup, tout se fait en douceur.
D’ailleurs parlant IA, celle des ennemis à tendance à vous viser en priorité quelque soit la situation: un tank à coté de vous et vous un ridicule flingue dans les mains, et bien vous voilà la cible principale! Celle de vos amis n’est franchement pas mieux, d’une part ils ont tendance à se transformer en plante verte, d’autre part ils ont tendance simplement à vous éjecter de vos couvertures à cause d’un petit manque de place.
Pendant qu’on y est, si les couvertures font… office de couvertures. Les murs ne sont pas compris dedans, petit soucis de collision je dirais. Les tirs ennemis passent à travers

 

Réalisation

Point noir, on a le droit à un petit, mais petit foutage de gueule: le jeu n’est pas traduit de l’anglais. Anglophobe, passez votre chemin. Bien sur pour les autres, il ne s’agit que d’un détail mineur.
Parce que à coté, bon ok, les décors ne sont pas forcément variés, tout ça à cause de l’univers post-apocalyptique imposé, mais globalement le résultat final est très très plaisant. Les boss sont réfléchis, tous originaux. On a un peu plus d’une demi-dizaine de twisted différents qui au fil de l’aventure auront le droit à une évolution: le changement de couleur. Oui ok critique facile, il faut reconnaître qu’autrement le bestiaire est assez garni.

Et puis il y a Aya, ah la belle Aya, cette jolie demoiselle qui se dénude, volontairement, peu à peu sous le feu ennemi, pour représenter le degré d’usure de la protection, qui d’ailleurs n’a aucun effet réel j’ai l’impression. Mais c’est pendant les cinématiques qu’on l’apprécie le plus, car ces cinématiques sont tout bonnement magnifiques, le rendu, de très bonne qualité, en ferra pâlir plus d’un !
Petite anecdote, si vous pouviez me donner votre avis sur ce personnage? Pour moi il y a pas photo, Borloo is in da place!

 

Bande Son

On retrouve Yôko Shimomura à la musique, et ça, ça fait plaisir, même si je n’avais pu profiter des morceaux des volets précédents que par Youtube. On retrouve dans The Third Birthday le même style, très agencé et collant pile poil à la fois avec le rythme et l’ambiance dure du soft. Très psychédélique à certains moments même.

Le fait de ne pas avoir traduit ici est peut être pas un mal (quoi qu’ils se seraient sûrement contentés d’un sous titrage à l’arrache).

Durée de Vie

La durée de vie d’une partie peut être assez courte, 7 chapitres, soit environ 9h de jeu pour un novice comme moi, quoi qu’elle offre une certaine difficulté sur certains passages.
Mais The Third Birthday offre une certaine rejouabilité. Le jeu met à notre disposition, beaucoup, beaucoup d’armes, qui, régencées par les BP, la “monnaie” du jeu, ne seront jamais toutes en votre possession dés la première partie.

L’autre intérêt est le “scoring” pur et dur, la recherche de la lettre parfaite à la fin des différents chapitres. Le défi simplement en fait.

Pour un amateur comme moi qui n’ai jamais joué à un Parasite Eve, me voilà comblé, un jeu original, avec un pincé de difficulté, un pur régal. On regrettera seulement le scénario quelque peu, bout-en-train. Ma prochaine mission, faire Parasite Eve 1&2.

  • LA DOUCE AYA
  • L’OVERDRIVE, PRINCIPE INTÉRESSANT
  • LE SCENARIO UN PEU FOUILLI
  • LE COTE RÉPÉTITIF DU TPS COUPLÉ A UNE VISÉE AUTO
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[TEST] Dragon Age 2 sur 360 /test-dragon-age-2-360/ /test-dragon-age-2-360/#comments Mon, 11 Apr 2011 19:52:00 +0000 /wordpress/?p=61 Tout droit sorti des studios de Bioware, la série des Dragon Age a connu un véritable succès grâce à son gameplay, tout aussi original qu’innovant, et à son scénario qui découle directement de nos choix et de nos actions dans le jeu. Son système de combat permettant de gérer tout notre groupe efficacement a fait de Dragon Age une référence dans son genre. Dragon Age 2 avait donc une lourde tâche : très attendu, il devait être à la hauteur de son prédécesseur.

SCENARIO

Dragon Age 2 déçoit aussi dans son scénario. Rien d’anormal, un jeu fait uniquement de quêtes répétitives ne peux pas avoir une trame principale exceptionnelle.
Cette fois ci, pas de choix comme dans le premier opus, vous incarnez un homme (ou une femme) réfugié venant de Ferelden, terre de Dragon Age 1, accompagné de votre famille, vous tentez de fuir l’enclin qui s’abat sur votre terre. Ainsi, vous fuyez pour Kirkwall, la ville ou va se dérouler toute l’histoire principale.
Vous commencerez par réunir de l’argent. Pour cela, il faudra faire plusieurs petites quêtes. Ensuite, vous devrez aider le peuple de Kirkwall, et c’est reparti pour des quêtes!
Bref, l’histoire principale vous force à faire toutes sortes de quêtes bien que certaines ne soient pas obligatoires.

Mais le point positif : la plupart des quêtes sont liées. Toutes vos actions sont importantes et jouent un rôle important dans la « quête principale ».

GRAPHISME

Peu d’améliorations dans ce volet : Dragon Age 2 garde des graphismes assez similaires au premier Dragon Age. Seul le chara-design bénéficie de vraies améliorations. Quand au reste, on aurait apprécié quelques efforts supplémentaires.
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Toute la trame se déroule dans une ville et dans ses alentours, on se retrouve constamment du début à la fin dans les mêmes lieux, qui eux mêmes n’évoluent pas d’un iota.
Mais le manque d’inspiration se fait réellement ressentir lorsqu’on commence à visiter des bâtiments, grottes, etc… Chacun de ces lieux possèdent exactement la même structure. Il suffit de visiter une grotte pour les avoir toutes vues. Après, il n’y a que les ennemis et l’emplacement des coffres qui change… et encore.

GAMEPLAY

On reste dans du Dragon Age : le même système que celui du premier. Vos ennemis sont adaptés à votre niveau, ainsi, on trouve toujours un minimum de difficulté. De plus, les combats sont beaucoup plus fluides et les attaques s’enchaînent beaucoup plus rapidement.

On peut, de même, noter un grand changement dans l’inventaire de vos personnages. Seul votre héros peut porter des équipements de protection ( casque, bottes, etc… ). Quand aux autres, ils possèdent chacun leurs armures qui s’améliorent selon l’avancée dans le jeu et les améliorations que vous lui apportez. Donc si vous trouvez une armure qui n’est pas faite pour votre classe, vous pouvez directement aller la vendre ou la jeter.
Mais le défaut réside paradoxalement dans les nombreuses quêtes qui constituent Dragon Age 2.
En effet, le jeu n’est qu’une suite de quêtes. La plupart courtes et ennuyeuses qui, quelques fois ne consistent rien de plus qu’à faire des aller-retour entre les différentes zones du jeu et sans nous épargner les long temps de chargement entre chacune d’entre-elles… Mais comme dans le précédent volet, chaque action peut avoir des conséquences sur l’univers de Dragon Age. Il est donc nécessaire de faire toutes ces quêtes.

BANDE SON

On retrouve aussi un manque d’inspiration de ce côté là. Les thèmes musicaux sont moyens et les doublages français manquent de conviction.
On note seulement comme améliorations par rapport au premier des bruitages mieux réalisés et un personnage principal enfin capable de parler.
Au final, peu d’améliorations pour un ensemble à peu près correct : Une bande son moyennement réussite.

DUREE DE VIE

Bon, après tant de points négatifs, un bon point : La durée de vie de Dragon Age 2 n’est pas la même selon vos choix et vos actions fait dans le jeu, mais elle reste plutôt élevée. Comptez en moyenne au moins une vingtaine d’heures et au maximum une trentaine si vous décidez de faire toutes les quêtes et en jouant dans une difficulté accrue.
Mais malheureusement, une fois la trame principale terminée, il n’est plus possible de faire quoi que ce soit.
Cependant, je pense que quelques quêtes supplémentaires (intéressantes) à faire après la fin de la trame principale n’aurait pas fait de mal à la durée de vie et à la difficulté du jeu!
Mais comme pour Dragon Age 1, ducontenu téléchargeable devrait faire son apparition, mais il faudra encore payer…

Après la réussite de Dragon Age 1, on s’attendait à beaucoup mieux de Dragon Age 2. Mais on est très vite déçu même si celui-ci garde les atouts qui ont fait le succès du premier.Bioware a fait bon nombre de mauvais choix. Les nouveautés ajoutées au gameplay, une suite de quêtes inintéressantes comme trame principale, des décors qui se répètent constamment, une bande son peu convaincante et le manque cruel d’inspiration ont fait de ce Dragon Age un jeu globalement raté et bâclé alors qu’il était très attendu par les fans de jeux du genre.
  • HAUTE DURÉE DE VIE
  • MÊME STRUCTURE UTILISÉE POUR PLUSIEURS LIEUX DIFFÉRENTS
  • UNE SEULE RACE POUR LE HÉROS
  • SCÉNARIO FAIT PRINCIPALEMENT DE QUÊTES
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[TEST] Titan Quest I & II sur PC /test-titan-quest-i-ii/ /test-titan-quest-i-ii/#comments Sat, 26 Mar 2011 23:11:00 +0000 /wordpress/?p=93 Bon, je l’avoue, ce n’est pas ce que j’ai de plus récent… Titan Quest est sorti en 2005 et Titan Quest : Immortal Throne en 2006, donc au lieu de faire deux test distinctement, j’ai décidé de n’en faire qu’un seul qui rassemble les deux jeux, surtout que Immortal Throne n’est qu’une extension du premier.

Enfin bref, Titan Quest est un “Hack and slash », un peu comme les jeux de rôle : vous avez un personnage qui monte de niveau au fur et à mesure, mais avec un aspect plus bourrin qui consiste essentiellement à massacrer des hordes d’ennemis.

SCENARIO

Ce n’est peut être pas le point fort du jeu, le héros de Titan Quest n’a aucune histoire, vous débarquez de nul part et vous traversez le monde de ville en ville en aidant toutes les personnes sur votre chemin pour finir jusqu’à sauver les Dieux. Mais au delà de ce scénario simpliste, vous revivez de nombreux mythes à travers plusieurs cultures. Ainsi, en Grèce, vous affronterez le Cyclope, les Gorgones, etc…
Bien que Titan Quest n’offre pas un scénario très original, vivre tous ces mythes reste très appréciable.

GRAPHISME

Aujourd’hui on fait bien mieux niveau graphismes, mais pour l’époque, c’était plutôt pas mal, voir excellent, mais réservé à de bons PC pour espérer le faire tourner à fond. Au moins, aujourd’hui, il est beaucoup plus accessible.
Bref, Titan Quest offre de bien beaux graphismes, que ce soit en Grèce, en Égypte, en Asie, chez les Dieux sur l’Olympe, ou encore en Enfer. Les vastes paysages de ce jeu sont réalisés à merveille! Et comme dans tout bon jeu du genre, chaque lieu possède ses propres créatures, et vu la quantité de lieux, ça fait un sacré bestiaire! Et ainsi, vous pourrez aller massacrer de vilains scorpions dans les pyramides de Gizeh ou encore aider l’armée chinoise à traverser la muraille de Chine.

GAMEPLAY

Un gameplay plutôt basique mais qu’on appréciera toujours autant. Comme tous les jeux de ce style, notre héros gagne des niveaux, et à chaque niveau, il gagne des points à distribuer dans ses caractéristiques et ses compétences. Mais au préalable, il faudra choisir une maîtrise parmi les 8 proposées (et 9 avec l’extension) qui définira votre personnage. Vous pouvez être plutôt du genre guerrier, doté de deux armes ou d’une avec un bouclier, ou inversement, vous pouvez incarner un mage maniant les arts élémentaires, et si l’envie vous prend, pourquoi pas un mixte entre les deux ?! Ajouté à cela, il est possible de choisir une seconde maîtrise au cours du jeu, ce qui laisse donc pas mal de choix à ce niveau là et change totalement vos techniques de jeu.

BANDE SON

Pas grand chose à dire sur la bande son, à part qu’elle est réussie! Les compositions sont plutôt bonnes et s’adaptent à tous les lieux de Titan Quest . Les bruitages sont corrects, et le jeu est intégralement traduit en Français.

DUREE DE VIE

Si vous aimez les “hack and slash” et que vous avez du temps libre, Titan Quest est le jeu qu’il vous faut! Il se divise en plusieurs actes, la Grèce, l’Egypte, l’Asie et les enfers dans l’extension. Chaque partie dure approximativement moins d’une dizaine d’heures. Je vous laisse faire le calcul! Ça en fait des heures déjà! De plus, deux autres modes de difficulté sont disponibles : une fois le jeu terminé, vous pouvez le refaire avec le même personnage mais avec une nouvelle difficulté. Cela ajoute du challenge au jeu et permet aussi de débloquer de nouvelle quêtes ainsi que d’avoir les meilleurs équipements du jeu.
Les plus courageux devraient pouvoir s’occuper durant de longs moments, mais sinon pour ceux qui trouveraient cela trop répétitif, un mode multijoueur est accessible pour faire l’aventure à plusieurs!

Bon, à part qu’il se fait vieux, Titan Quest n’est peu être pas un jeu révolutionnaire et ne se démarque pas des autres “hack and slash” en vous proposant un gameplay très similaire aux autres, mais il reste cependant très bon. De plus, il offre de magnifiques graphismes dans un univers immense, une bande son correcte, une durée de vie incroyablement longue,et il nous fait vivre toute la mythologie grecque, égyptienne et asiatique! Titan Quest est de loin l’un des meilleurs jeux du genre!
  • EXCELLENTE DURÉE DE VIE
  • DE BONS GRAPHISMES
  • L’IMMENSE UNIVERS DE LA MYTHOLOGIE
  • TRÈS RÉPÉTITIF
  • HÉROS SANS HISTOIRE
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[TEST] Final Fantasy XIII sur Xbox 360 /test-final-fantasy-xiii-sur-xbox360/ /test-final-fantasy-xiii-sur-xbox360/#comments Sat, 05 Mar 2011 21:34:00 +0000 /wordpress/?p=33 Encore un épisode de la célèbre série des studios Square Enix, Final Fantasy XIII était très attendu du public. Il est le premier épisode de la série à proposer des graphismes de qualité HD, mais plus important encore, il s’écarte aussi des Final Fantasy classiques et innove, de quoi laisser certains fans perplexes. Pourquoi changer une recette qui marche? Final Fantasy XIII sera t-il à la hauteur des autres épisodes, mais surtout arrivera t-il à convaincre tous les joueurs?

SCENARIO

Comme tout les épisodes du genre, Final Fantasy XIII nous fait découvrir un nouvel univers fantastique. Le scénario est divisé enplusieurs chapitres, dans lesquels vous incarnez plusieurs groupes de héros, et dont les chemins sont destinés à se croiser au cours de l’histoire. Mais autant l’histoire personnelle des héros est assez développée et se complète tout au long de l’histoire, autant l’histoire principale est plutôt légère! Enfin, pour ceux qui auraient du mal à suivre le scénario, une option est disponible afin d’obtenir des résumés de l’histoire.

GRAPHISME

L’un des points fort du jeu, Final Fantasy XIII propose de magnifiques graphismes à travers toute l’aventure aussi bien au niveau des décors et paysages qu’au niveau des personnages. De plus, l’intégralité des cinématiques est en HD ! Que demander de plus ? MAIS d’une console à l’autre, Final Fantasy XIII perd de sa qualité et voit ses cinématiques en HD sur la console de Sony passé en une qualité bien plus médiocre sur la console de Microsoft ( et sur 3 CD en plus… )

GAMEPLAY

Vraiment différent des épisodes de la série, le Gameplay de Final Fantasy XIII est ce qui le rend original et innovant. Surtout son système de combat en temps réel, proche des derniers opus (FF X-2, FF XII) de la saga : au lieu que chacun des personnages ait un tour de jeu, ils ont une barre d’action qui se remplit plus ou moins vite et leur permet de réaliser une ou des action(s) en consommant cette barre. De plus, les personnages évoluent selon un arbre de compétences: « le crystarium » qui leur permet d’apprendre d’autres rôles et compétences. Et chaque rôle permet au personnage de réaliser des actions bien précises ( soigner, taper, etc… ). De plus, le joueur peut assigner plusieurs combinaisons de rôle à son équipe! Ce qui permet d’adopter des stratégies différentes selon l’ennemi. Ainsi, même si le système de combat semble bien réalisé, il reste très différent de celui des anciens Final Fantasy, et ne plaira probablement pas à tout le monde.

BANDE SON

Final Fantasy XIII ne propose que des doublages anglais, mais une traduction sous titrée française est tout de même disponible. Sinon la bande son reste correcte! Plusieurs musiques de bonne qualité qui se diversifient selon les lieux et l’avancée dans l’histoire. De plus, la musique “thème” du jeu n’est pas la même que celle de la version japonaise ( après c’est une question de goût )!

DUREE DE VIE

Une bonne durée de vie comme la plupart des RPG, Final Fantasy XIII vous occupera plus d’une quarantaine d’heures pour terminer l’histoire principale, en comptant les nombreuses cinématiques du jeu et les 20 premières heures guidées. A noter que Final Fantasy XIII propose plusieurs quêtes annexes dont des mini-jeux et de nombreuses missions de chasse. Mais cela reste léger et très répétitif comparé à la majorité des jeux de ce genre.

Final Fantasy XIII,dernier opus de la saga, bien que très différent comparé aux anciens volets ( peut être trop pour certains ?) nous propose un tout nouveau RPG avec un système de combat dynamique et innovant, ainsi que des graphismes à couper le souffle (surtout sur PS3 ). Même s’il ne plaira pas à tout le monde à cause de sa linéarité durant les 20 premières heures de jeu, ou du fait qu’il est trop différent des anciens jeux, il reste tout de même l’un des RPG qui mérite qu’on s’y intéresse.
  • SUPERBES GRAPHISMES
  • SYSTÈME DE COMBAT INNOVANT
  • PEU DE QUÊTES ANNEXES
  • COMBATS TRÈS RÉPÉTITIFS
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[TEST] Golden Sun – Obscure Aurore sur DS /test-golden-sun-obscure-aurore-sur-ds/ /test-golden-sun-obscure-aurore-sur-ds/#comments Fri, 28 Jan 2011 18:52:00 +0000 /wordpress/?p=72  

Je quitte le temps d’un test ma Xbox pour vous proposer exceptionnellement ce fameux test d’un jeu sur Nintendo DS qui a marqué mon enfance: Golden Sun.
Alors qu’il nous a fallu 7 ans d’attente, 30 ans se sont écoulés dans le monde de Weyard, et le monde a bien changé depuis le dernier épisode. « Golden Sun: Obscure Aurore » passe à la 3D mais reste dans la continuité de la saga. On y retrouve donc le monde et les personnages qui caractérisaient cette série emblématique de la console portable de Nintendo.

SCENARIO

Certes le monde de Weyard abrite une longue et passionnante histoire que l’on doit aux deux premiers volets, mais « Golden Sun: obscure aurore » ne fait que reprendre cette histoire sans réel changement. On se retrouve donc dans Weyard 30 ans après l’avènement du Soleil d’or, avec les enfants des précédents héros toujours accompagnés de Thelos, qui n’a pas prit une ride après toutes ces années! Et après une petite gaffe a priori sans importance on se retrouve a traversé sauver le monde de nouveaux ennemis. De plus pour tout ceux qui n’auraient pas suivi les premiers volets, une encyclopédie est disponible afin de comprendre et mieux suivre l’histoire.

GRAPHISME

Le passage à la 3D est généralement bien réussi. Les combats sont les premiers à en bénéficier. Chaque animation en combat ainsi que les invocations sont d’un excellente réalisation pour un jeu DS. Par contre, la 3D à malheureusement aussi ses défauts et tout le chara-design est vraiment raté et les personnages sont plutôt formés, pour exagérer, d’un assemblage de gros cubes! A noter aussi que notre héros Matt ressemble comme deux gouttes d’eau à son père dans les anciens volets, il a de plus gardé les mêmes vêtements…

GAMEPLAY

Pas grand chose de nouveau il faut avouer par rapport aux précédents Golden Sun, quelques petites améliorations sur le système des armes. Chaque héros a une maîtrise de l’arme qu’il peut perfectionner en utilisant l’arme en question. Mais à part cela, on retrouve tout le système déjà connu des joueurs qui sont les djinns et les invocations. On a cependant accès à de nouvelles Psynegies, sorte de magie télékinésique (point déjà important dans les premiers volets) que l’on peut utiliser à distance ayant divers interets plus ou moins importants. De quoi faire plusieurs énigmes


BANDE SON

Rien à reprocher, la bande son reste correcte dans la continuité de la saga. Ainsi, on se retrouve avec des musiques toujours aussi réussies et variées que ses prédécesseurs.

DUREE DE VIE

« Golden Sun: obscure aurore » reste un jeu plutôt long, une bonne trentaine d’heure pour en venir à bout, et on comptera une quarantaine d’heure pour le finir intégralement avec tous les djinns et les invocations, même si la chose n’est pas aisée quand on sait qu’à certains points du jeu, aucun retour en arrière n’est possible. Donc attention sinon c’est reparti pour une nouvelle partie..

Après 7 ans d’attente on aurait pu espérer mieux, surtout au niveau du scénario qui reste très basique et de la 3D des personnages ratés. Mais on prendra beaucoup de plaisir à découvrir ou redécouvrir l’univers de Golden Gun ainsi que son système de combat au tour par tour toujours aussi magnifique, et enfin, ses énigmes toujours aussi intéressantes qu’amusantes qui caractérisaient la série.
  • GOLDEN SUN IS BACK !!
  • Superbes animations des combats
  • De nouvelles Psynergie,de nouvelles énigmes
  • Scénario trop simple
  • chara-design qui laisse à désirer
  • Des mystères non élucidés (des enfants sans mères !?)-
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[TEST] The Elder Scrolls IV – Oblivion sur PS3 /test-the-elder-scrolls-iv-oblivion-sur-ps3/ /test-the-elder-scrolls-iv-oblivion-sur-ps3/#comments Thu, 27 Jan 2011 12:04:00 +0000 /wordpress/?p=90 Oblivion… Quatrième volet d’une saga indispensable pour tout grand amateur de jeu de rôle, développé par Bethesda Softwork.
Votre histoire se déroule dans les terres de Tamriel, terre digne des plus grands esprits du style heroic-fantasy. Nous voici dans un cachot humide et sombre, une épée dans une main et une torche dans l’autre. Mais pas le temps de se poser, c’est le début de votre aventure!

Shakespearien…

Si le lancement de l’aventure se fait de manière classique, le scénario évolue et la trame principale devient de plus en plus intéressante. Mais bon une fois dedans, entre les guildes et les différentes quêtes on sais pas où donner de la tête et on ne s’ennuie jamais.
On peut aussi bien sur prendre son temps et évoluer à son rythme. 

De plus, la richesse du scénario s’approchant parfois de la patte de Tolkien, il n’y a vraiment rien à redire de ce côté là, la première partie du jeu qui est votre évasion est une sorte de petit lancement dans l’univers de Tamriel vous permettant de créer votre avatar.

Le monde oui, le héros non.

Le jeu ne brille pas par son moteur graphique, les détails ne sont pas très poussés, voir un poil flous mais bon, c’est tellement vaste… presque 30km² de terrain à traverser. Les lieux sont divers et variés entre les donjons et les plaines, tous les décors sont très riches, les jeux de lumières sont magnifiques et les couleurs créent une ambiance magnifique et épique.
Il n’y a pas à dire de ce côté là le jeu n’a donc pas grand chose à se reprocher. Le seul petit défaut du soft sont les personnages, en particuliers leurs visages, ils sont pas trop réussi, voir même pas du tout.

As you want…

Là faut pas hésiter le gameplay est très… très… intuitif, les développeurs ont tout fait pour nous simplifier le jeu tout en étant adapté aux vétérans du RPG habitués aux développements de personnages complexes. 

Autrement tout le reste est très complet et on peut enfiler le rôle de son personnage à fond, que vous soyez, un rôdeur, un guerrier ou encore un mage tout est adapté, compétence, équipement et même quêtes.
On retrouve les bases du RPG occidental, on progresse grâce à l’évolution de nos compétences majeures, que l’on dénombre au nombre de 7 (à choisir personnellement au début de votre aventure) qui sont elles même accompagnées de toutes les autres qui par contre n’ont aucune influence sur l’évolution votre niveau.

A long, long time ago.

Le temps… le temps… Si vous êtes prêts à passer du temps sur ce jeu, il vous fournira tout ce qu’il vous faut, vous pouvez bien sur le finir d’une traite, mais c’est tellement mieux de prendre son temps, de réaliser toutes les quêtes annexes, les guildes. Découvrir des donjons, les explorer et vous battre pour votre survie!
Et puis bon on peut toujours y jouer et y rejouer, histoire de revêtir la peau d’un assassin et ensuite devenir un saint. Vous avez à coté bien sur les deux extensions, Shivering Isles et Knights of the Nine et la quantitée indénombrable de mod réalisés par la communautée afin d’enrichir le jeu et perfectionner le jeu.

Epique

Jeremy Soule a fait ici un travail remarquable, les différents thèmes musicaux s’adaptent à toutes les situations, que vous soyez en pleine bataille, acteur d’une scène épique ou même messager de la noirceur, les thèmes sont toujours adaptés et totalement immersifs, les bruitages sont aussi réalistes.
De nouveau un défaut se pose semblable au graphisme, décidément tous se centralisent à la coque des personnages, leurs voix… Comment ne pas émettre un petit rire quand votre interlocuteur change soudain de voix, ou que différents personnages sont doublés par la même personne.?!

Dommage parce que l’on reconnait la voix de Marc Alfos doubleur très connu pour ces doublages de Maximus, Titus Pullo ou encore Atlas dans Bioshock.

Un Elder Scrolls avec la réputation actuel de la série se doit d’être une nouvelle stèle dans le monde du RPG, et le jeu de Bethesda se démarque sans aucun problème! Un jeu qui donne envie, splendide et vous léguant un libre arbitre sans limite, voilà ce qu’est Oblivion. Les traces des précédents opus se font sentir dès vos premiers pas, et l’envie de s’engouffrer dans cet univers se ressent de suite.
Certes quelques petits défauts se font sentir tout au long du jeu, une IA parfois pas très bien réactive et les petits défauts de doublage ou de texte ( du à la traduction ).
Oblivion s’impose ainsi en temps que maitre dans son style, les Ad-ons et les mods ( par les fans ) ne dérogeant pas à la règle en augmentant la force de l’aventure.

  • LA MUSIQUE…. JUSTE LA MUSIQUE
  • L’AMBIANCE DIGNE DE TOLKIEN OU MOORCOCK
  • PARFOIS QUELQUES SACCADES ET UN MANQUE DE FLUIDITÉ.
  • DE TEMPS EN TEMPS UN TEMPS DE CHARGEMENT VOUS INTERROMPT EN PLEIN DÉPLACEMENT
  • PORTAGE, EN SOIT, BIDON
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