[DOSSIER DU MOIS] Les 2 jeux vidéos qui ont bercés notre enfance

On a tous été déjà passionnés, fascinés par quelque chose durant notre plus tendre enfance. Quelque chose qui vous a accompagné et qui a fait de vous, aujourd’hui, quelqu’un rempli de passions. Nous, tout comme vous peut être, avons vécus beaucoup de bons moments dans le monde du jeu vidéo.

Un monde où le contact entre joueurs et créateurs est très fort, un monde où tout est fictif et magique, bref, un monde aussi vaste que l’infini tant que l’idée subsiste !

Ainsi, nous avons décidés de créer ce dossier afin de vous faire partager les jeux tout aussi cultes qu’inconnus, mais une chose est sur : qu’on a apprécié durant notre enfance !
De grands titres seront au rendez-vous et vous rappellerons très certainement beaucoup de bons souvenirs aussi …

Pour les nouveaux lecteurs : les avis suivant sont totalement subjectifs, ils ne cherchent en aucun cas à imposer une vérité, simplement à partager un plaisir qui nous est personnel.

Selon Dyz

Snoopy : Magic Show

Vous connaissez sans doute un fameux chien blanc au long museau et aux oreilles noires prénommé Snoopy! Un petit personnage bien sympathique qui m’a accompagné une très longue partie de mon enfance du fait de son air amical, inoffensif et dessiné de façon rapide mais amusante!


Le jeu Snoopy : Magic Show est un très ancien jeu sorti en 1990 sur Game Boy (noir et blanc) ! Malgré le sacré coup de vieux qu’il s’est prit depuis, il reste tout de même un jeu divertissant et très plaisant à jouer pour tout joueur passionnés de rétro.


Le but du jeu consiste tout simplement à récupérer, dans le temps imparti, un petit personnage qui ressemble à un oiseau ambulant, qui est en fait le grand ami de Snoopy. Et ce petit oiseau (à savoir, immobile dans le jeu) se trouve un peu partout sur votre l’écran. Et ainsi, il faut récupérer notre ami tout en évitant bien sûr les obstacles tels que des balles rebondissantes !


En bref, un jeu fun et simple qui nous fait redécouvrir les meilleurs jeux de l’ancien temps. A noter que c’est l’un des premiers jeux consoles auquel j’ai joué (avec un autre jeu de golf dont le nom m’échappe) !

Frogger

Un jeu plus recent que Snoopy : Magic Show, mais qui à toutefois vieilli depuis le temps :Frogger sur Game Boy Color est le second jeu auquel j’ai pris beaucoup de plaisir à jouer. Sorti en 1998, il a un style de jeu tout aussi simple que le précédent, et reste encore une fois un jeu qui pourrait plaire à tout chasseur de jeux rétro.


En effet, Frogger est un jeu ayant déjà existé sur d’autres plate-formes, le but est resté toujours le même : s’échapper de l’effroyable route occupée par des engins à 4 roues de tout genres !
Vous contrôlez donc une grenouille, et vous devez passer sans succomber à plusieurs obstacles. Après la route, il y a aussi une rivière à passer avec tantôt des troncs d’arbres, tantôt des tortues fourbes qui vous aideront à aller de l’autre côté de la rivière et ainsi sauver la grenouille ! Il y a bien entendu un nombre de vie limité, ainsi qu’un temps imparti à chaque grenouille que vous essayerez de sauver.


Frogger est donc un jeu à objectif unique, mais auquel le plaisir d’y jouer sera sans aucun doute au rendez-vous. Entre les voitures qui deviennent plus rapides, le chemin qui devient de plus en plus long, les tortues qui vous invitent à plonger dans la rivière, un jeu comme je vous ai dit, simple, mais plutôt addictif !

Il vous rappellera donc encore une fois l’époque des jeux peu développés mais tout aussi amusants, et en couleur !

Selon Whinze

Oddworld, l’Exode d’Abe

Les Mudokons, les Sligs, Scrabs et Paramites ont été les créatures imaginaires que j’ai eu l’occasion de rencontrer dans mes rêves et cauchemars (surtout cauchemars) quand j’étais petit.

Souvenez-vous, Oddworld c’était l’histoire d’Abe, l’élu des Mudokons, qui avait pour mission céleste de sauver ses camarades de l’exploitation ouvrière de la brasserie SoulStorm en les ramenant chez eux un par un en ouvrant portail transdimensionnel formé par des chauves-souris !

Vous pouviez interagir avec les Mudokons et discuter avec eux selon leur humeur, et deviez les convaincre par moments de vous suivre. Vous deviez désactiver les pièges mis sur le chemin du portail et éviter de vous faire repérer par les Slugs, les “agents de sécurité” de la brasserie. Vous aviez également certains flashbacks qui vous permettaient de comprendre la situation des Mudokons.

Malheureusement pour moi, mais aussi pour ceux-là, peu de gens y ont joué pendant leur enfance et même peu de gens y ont joué de manière générale, ce qui aura peut-être comme conséquence que vous ne connaissiez pas ce jeu … si ? Dîtes-moi ce que vous en avez pensé en laissant un commentaire !

En tout cas excellent souvenir que ce jeu, auquel je prends encore aujourd’hui du plaisir à jouer en souvenir du bon vieux temps !

Final Fantasy VI

Parce que j’ai longuement hésité avant de mettre “Final Fantasy VI” dans les jeux qui ont marqué mon enfance. Non pas parce que je doutais de sa qualité (non, au contraire), mais parce que je me demandais si j’allais réussir à rester raisonnable dans son éloge pour ce dossier.

Final Fantasy VI, ou l’opus favori des grands fans de Final Fantasy dans le monde, ceux qui ont eu l’occasion de jouer à tous les épisodes et non pas seulement au VII ou au VIII. Souvenez-vous, l’histoire racontait plus ou moins l’évolution de Terra, cette jeune fille aux cheveux verts capable d’utiliser la magie.

C’était un jeu au scénario prenant, et même s’il reprenait sur certains points des caractéristiques des J-RPGs classiques, à savoir devoir sauver le monde, il gardait une certaine touche d’originalité.

C’était surtout un jeu avec des personnages au charisme époustouflant, entre Shadow le ninja silencieux au passé lourd, Edgar le roi de Figaro-lover et son frère Sabin qui a fui ses responsabilités de roi pour devenir maître en arts martiaux, Locke le vo … chasseur de trésor, et Kefka le général mégalomane faisant le mal par pur amour pour la méchanceté (j’en passe pour éviter de tous les faire), chaque personnage avait des caractéristiques qui lui étaient uniques.

Une durée de vie exceptionnelle, des rebondissements inattendus, des graphismes époustouflants, des personnages super-attractifs (même si j’ai du mal à me décider à propos de mon personnage préféré), des quêtes optionnelles qui permettaient d’en savoir plus sur le passé des personnages, des OST-oeuvres d’art. Voici ce qui fait de Final Fantasy VI un des jeux qui a marqué mon enfance.

Selon Nox

Dragon Quest V

Quand t’es gosse, il y a des jeux auxquels on est capable de jouer même si on y comprend pas un traître mot.

J’entends pas là dans une autre langue par exemple. Ce fut le cas pour Dragon Quest V sur Super Famicon.
A l’époque je ne savais pas lire un strict mot de japonais (et ça n’a pas beaucoup changé) mais malgré cela, je me suis accroché au jeu, à suivre ce petit homme violet qui, accompagné d’un homme moustachu, va parcourir le monde.

Là est l’une des qualités d’un jeu pour moi, malgré le fait que je ne comprenne absolument rien, était d’attirer et d’attiser l’imagination d’un pauvre gamin de 10 ans. Son système de combat, simple mais qui peut être très élaboré et son ambiance prenante et unique rendait le jeu… Magique!
Durant les nombreuses heures que j’y ai passé, j’y ai trouvé tout ce qui fait actuellement la recette du parfait jeu de rôle japonais:
Un scénario colossal (vous jouez toute vie de votre héros) et surtout une patte unique.

Bon le chara-design made by Toriyama a dû jouer son petit rôle à cette époque.
Mais le plus intéressant a surement été de m’y replonger plusieurs années après (grace à nos amis les émulateurs).

Redécouvrir réellement cette histoire sous un autre angle, celui de la compréhension m’a permis d’en profiter réellement, et de comprendre totalement la perle qui se trouvait entre mes mains.

Legend Of Dragoon

Legend Of Dragoon doit être mon vrai premier jeu PsOne (après Populous haha). J’y ai joué avant d’avoir touché à ce qui fut LE jeu qui m’a marqué ensuite, Final Fantasy VIII (puis IX, puis X, VI, I, II, IV, etc..).

Mais Legend Of Dragoon est avant tout l’un des RPG les plus mis de coté sous l’ombre des grandes sagas sorties à la même époque, et c’est bien dommage. Car ce RPG développé par Sony aurait dû mériter beaucoup plus.

La première chose qui m’envouta, c’est le fait que la magnifique cinématique d’introduction.. Les gens parlaient, c’était.. splendide.
Et voir cette qualitée d’image à l’époque c’était tout de même bluffant. De même pour le boitier CD, quand à l’ouverture on voyait 4CD on savait qu’on se foutait pas de notre gueule.

Outre sa bande son, originale, mystique et marquante, ce fut sourtout le gameplay qui m’étonna le plus, habitué au tour par tour normal depuis la SNES, voir le système de combo de Legend Of Dragoon était une véritable nouveauté. Et une très bonne surprise.
Idem pour le scénario, bourré de.. surprise!

Legend Of Dragoon est un hit, nécessaire, obligatoire…. Mythique!

Selon Yop

Golden Sun

Ah, Golden Sun! Sorti un an après la GBA, ma toute première console à moi! Fini d’emprunter la gameboy des copains et de squatter le PC de papa!
Bref, mon tout premier vrai RPG, que je dois à Nox au passage qui me l’avait prêté.

J’ai tout de suite accroché au jeu, d’une part pour ses graphismes, qui, pour l’époque, étaient magnifiques, surtout pour un jeux de GBA. Les combats en 3D avec des animations à couper le souffle! Enfin, surtout lorsque l’on passe de pokémon à Golden Sun (niveau combat), Pikachu et son attaque éclair faisait pâle figure à coté du ragnarok de Vlad.
Le gameplay était excellent, il fallait utiliser certaines magies en dehors des combats pour progresser dans le jeu tout en résolvant pas mal d’énigmes. Puis il y avait aussi le système d’invocation et de Djinns, je vous passe tout les détails, sinon on en a pour des heures à expliquer entièrement le gameplay de Golden Sun.
En bref, un jeu vachement complexe pour un gamin de 10 ans ^^ .

Si l’on me demandait quel était le meilleur RPG sur GBA, sans aucune hésitation je vous répondrais les Golden Sun. Car oui, il y en a eu plusieurs, trois en tout plus exactement : deux sur GBA et un petit dernier sur DS. Le meilleur des trois étant selon moi le deuxième, mais sans avoir joué au premier qui n’a pas beaucoup d’intérêt.

Un jeu que je conseille aux amateurs de RPG qui seraient passés à coté, même s’il date un peu, il n’a pas prit une seule ride!

Dossier précédent : Les 4 films d’horreur qui nous ont le plus marqué.