?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?> PixAgain » SERIES http://pixagain.org Critiques, Tests, Avis, Dossiers, Previews... Mon, 18 Nov 2013 23:50:41 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.7.1 Websérie : Et après ? la websérie /webserie-et-apres-la-webserie/ /webserie-et-apres-la-webserie/#comments Mon, 24 Dec 2012 21:49:54 +0000 /?p=7451 Et après : la websérieLe 21 Décembre 2012 devait sonner le glas de la fin du monde et la mort de l’humanité, il n’en a rien été. Cependant, cette date a vu naître le début de la websérie “Et après”, qui risque fortement (selon mes statistiques et calculs tout à fait infondés) de se populariser sur Internet. Et vous nous connaissez, on aime vous donner les choses avant tout le monde !

Réalisé par Laurent Jaffier, “Et après” raconte l’histoire de Freddy, interprété par Freddy Chattuais, venant de se faire larguer par son désormais ex-copine Eve Odner, interprétée par Fanny Bayard. Sur un ton entre le décalé et le sérieux, Freddy narre sa vie et ses anecdotes tout en soulevant une question que tout le monde se pose après une relation longue : “Et après ?”.

Le premier épisode m’aura permis de faire des découvertes musicales telles que June Bug (http://www.myspace.com/junebugacoustic) et Djaff (http://www.myspace.com/djaffmusic) qui n’est autre que Laurent Jaffier. L’équipe est composée de lillois exclusivement pour le moment, quoiqu’on pourrait se poser des questions pour le poisson rouge …

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[SERIE] Strike Back : Project Dawn /serie-strike-back-project-dawn/ /serie-strike-back-project-dawn/#comments Sat, 11 Aug 2012 17:56:50 +0000 /?p=5855

A l’occasion d’une petite excursion sauvage, j’ai eu l’occasion de découvrir deux choses, la première est le thème principal de cet article : la série Strike Back, la seconde chose est le paint ball, dont le carnet de bord vous est délivré un peu plus bas dans l’article. La nouvelle série d’HBO à qui l’on doit entre autres Game of Thrones, se positionne pour l’instant sur trois saisons. Le coffret qui nous a été confié, sous titré Project Dawn, malgré l’indication en tant que première saison (située en haut du coffret) s’avère dans les faits être la seconde, la première tournant autour d’un personnage sur laquelle la seconde se repose par des faits, John Porter. Mais il est vrai que cette saison s’avère tout a fait accessible, aucun lien n’est fait avec la « première saison », tout est parfaitement compréhensible, et se suit sans efforts. Strike Back a aussi l’atout de se présenter de nouveau comme l’adaptation d’un roman, celui-ci écrit par Chris Ryan, ancien membre des SAS, donc excellemment bien placé pour nous immerger dans ce genre de récit.

Modus operandi habituel des séries d’action militaires, mais efficace : Strike Back ne se positionne pas comme une série évoluant au fil des épisodes avec une grande ligne directrice, mais par le biais de différentes missions. Ces nouveaux ennemis apparaissant au fil de deux ou trois épisodes permettent à notre équipe de la Section 20 de grignoter petit à petit les indices les menants à Latif. La série de HBO rentrant dans le moule des 10 épisodes pour sa première saison, ce choix lui permet de faire preuve d’une certaine efficacité sans s’essouffler un instant. Le duo Stombrdige & Scott fait donc le grand nettoyage durant leurs missions, se retrouvant à chaque fois dans différentes situations cocasses, c’est deux véritables machines qui se mettent en marchent. Impossible de compter le nombre de morts par épisode, le credo de la série s’approchant plus d’un jeu-vidéo que d’une base réelle, tuer deviens la plupart du temps la solution au problème. Vous l’aurez deviné, on tient plus d’un vrai bordel que d’une vrai construction scénaristique vouée à vous remuer les méninges. Reste que le duo campé par Philip Winchester, le britannique, et Sullivan Stapleton, l’américain, possède un certain potentiel en terme de charisme, tout du moins quand les deux se retrouvent ensemble, la plus part du temps, les deux vacants à leurs occupations chacun de leur côté avant de se regrouper. Chaque début de mission suit ainsi plus ou moins le même pattern. Qui est la taupe? Comment la débusquer? Tout en espérant que les cibles ne sont pas inconnus à Latif et qu’elles pourraient les renseigner d’une manière ou d’une autre. Le vrai défaut, car le fun ne fait pas tout, est que la série n’arrive pas à instaurer une vraie tension, les personnages étant plus proches d’une petite équipe de supermans intouchables qu’autre chose, les dommages collatéraux ne devenant que de simples petits détails, ils foncent dans tout ce qui bougent sans craindre la mort.


Partez en mission avec deux agents d’un service de renseignement top-secret, appellé la Section 20 : Michael Stonebridge, sergent britannique d’une unité d’élite anti-terroriste, et Damien Scott, l’ancien agent des forces spéciales américaines de la Delta Force, congédié à la veille de l’intervention américaine en Irak. Stonebridge, Scott et les autres membres de la Section 20 parcourent le globe à la recherche de Latif, un terroriste d’envergure internationale en possession d’armes de destruction massive. L’attentat qu’il projette pourrait avoir des répercussions à l’échelle planétaire.


Si Strike Back n’est certainement pas la série qui va nous titiller en terme de série porté sur l’action et sur les forces spéciales, elle a clairement le mérite de nous proposer un univers globalement cohérent et assez fun, même si pour ça, l’aspect réaliste est négligé.

 


Je disais donc que, afin de nous mettre vraiment en situation et ainsi nous plonger directement dans l’univers Strike Back, nous avions le droit à un PaintBall, qui plus est en forêt. C’est donc avec toute une fine équipe de blogueurs que nous nous sommes rendu sur notre terrain d’entrainement. L’évènement mystérieux prenait la forme d’une mission mise en place directement pas le MI-6. Départ donc de Paris, car il faut bien la trouver cette forêt, nous voilà donc parti vers un endroit perdu dans Cergy. Une fois sur place, quand la première impression est donné par un hangar délabré situé devant la forêt, l’impression est tranchée dans le vif, car sur place, ce n’est pas seulement sur des habitués en treillis que nous sommes tombés, mais aussi sur des lapins roses – partis sur le peloton d’exécution – et un soldat des forces du N7, tout droit sorti de Mass Effect, pourquoi pas?

Mais c’est tout de même dans une gentille guerre que nous nous aventurons, il faut donc de l’équipement, combi, armes, le parfait kit du petit soldat. Mais pas avant de connaitre les règles, nous avons beau nous trouver sur un terrain de jeu géant, reste que les armes peuvent être dévastatrice si mal utilisées elles sont. Après avoir signé la petite assurance qui fait du bien aux organisateurs, nous voilà partis sur le terrain, notre « sergent-chef » habitué à voir de petits nouveaux nous cadre sympathiquement avant de nous lancer sur notre premier terrain, présenté comme un bête assaut de deux équipes l’une sur l’autre. Mais après ce bête assaut, on nous propose différents scénarios, tel que la prise de fort, une équipe s’occupe de l’assaut, une autre de la défense, puis inversement, enfin le développement stratégique attendu. Après avoir enchainé quelques parties – les balles disparaissent bien vite – certains se sont retrouvées avec bleus et blessures, les balles ont beau être pleines de peinture, c’est qu’elles vont vite ces saloperies vertes! Mais le summum, reste notre dernière partie, où au lieu de se retrouver entre nous, nous nous sommes retrouvés face à une équipe bien mieux entraînée et équipée que nous. L’expérience étant le facteur le plus impressionnant, prenant la forme d’une capture de château, ce fut le véritable massacre. Dernier rescapé, c’est comme une véritable volaille que je me suis fais toucher. Après la guerre, le repos. Mais c’était bien loin du repos voulut, car attaqué par un ancien légionnaire au slip rouge – signe distinctif indéniable -, c’est surtout face à son odeur alcoolisé que nous nous sommes retrouvé. Mais pas de quoi s’alarmer, si la situation tirée tout droit sortie d’une mauvaise série est bien arrivé, elle s’est finie et déroulée de la même manière : tout fini bien!

Une belle journée en somme, mais j’avouerais, sans paraitre conformiste ou toute autre connerie du genre, que cette expérience m’a donné envie d’achever un dossier me tenant un coeur depuis un certain moment, parti sur l’un des slogans qu’affichait Battlefield 3 à sa sortie, où se trouve la frontière entre le jeu-vidéo et la réalité? Pourquoi cette course au graphisme les plus poussés? Dans tout les cas, un grand merci à Way To Blue pour l’organisation de cet évènement, ainsi qu’à Warner, mais surtout à Diraen pour sa couverture de l’évènement, sans elle, pas de photo, pas de partage, merci!

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[SERIES] Sherlock – Saison #1 & Preview Saison #2 /series-sherlock-saison-1-preview-saison-2/ /series-sherlock-saison-1-preview-saison-2/#comments Sun, 04 Mar 2012 10:59:36 +0000 /?p=3413

Ni une ni deux, après avoir fait le tour de la seconde œuvre de Guy Ritchie, plongeons nous sans hésiter cette fois-ci dans l’univers de Moffat avec un style bien particulier. Sherlock, cette série de la BBC et fraichement arrivée sur France TV, méritait de relancer cette catégorie beaucoup trop délaissée, car le rédacteur ici qui regarde surement le plus de séries boude toutes autres catégories que celle cinéma et dossier, si vous voyez de qui je parle.
Ce Sherlock donc, crée par Moffat & Gattis, se trouve être une véritable refonte du personnage et de son univers, adieu la belle ville de Londres brumeuse et noire, c’est dans le Londres d’aujourd’hui que ces derniers ont décidés de ré-implanter Holmes et son acolyte, Watson.
Avant de faire un petit tour du propriétaire et de rentrer plus encore dans les détails de cette fantastique série, attardons nous un instant sur le concept même de cette série, et les raisons d’un tel succès.

Déjà, faut-il vraiment appeler « épisodes » chaques travaux de cette série? Pas sûr, on atteint tout de même des durées de 1h30, on pourrait donc qualifier ces « épisodes » de téléfilms, non pas au sens péjoratif du terme, mais dans le même sens que ceux qui ont permis à des acteurs comme Rathbone de petit à petit développer un jeu d’acteur. Revenons en donc à cette série, je ne vais pas faire une analyse de chaque épisode un par un, mais plutôt dans la globalité de cette saison qui n’en compte que 3. Avant tout, quiconque connait un tant soit peu l’univers de Doyle, ne va pas pouvoir s’empêcher, en abordant cette nouvelle version, d’être possédé par une certaine appréhension… Sherlock totalement dépendant d’un téléphone portable? On aura tout entendu.
Mais après le premier épisode le doute se dissipe totalement. Et c’est surtout grâce à cet acteur, totalement inconnu sauf de certains cercles, qui campe le rôle du détective : Benedict Cumberbatch.


Ce dernier, plus qu’un Watson joué par Martin Freeman futur Bilbo le Hobbit, pour l’instant mis de coté, tout du moins pour cette première saison, entre directement dans le top de mes acteurs maitrisant et ayant donné un coté unique au personnage de Doyle. Assez proche de la version donnée par Jeremy Brett, dandy mais pas trop, plutôt fou, égocentrique et totalement asocial, non pas par défaut mais par simple manque d’une utilité certaine, Benedict Cumberbatch réalise sans même un semblant de difficulté et de vacillement dans ce rôle où la pensée même du personnage et son caractère sont totalement insaisissables.
Concernant la série en elle même, chaque épisode reprend une affaire plus ou moins connue dont a pu traiter Conan Doyle, toujours remise au gout du jour et réadaptée aux situations, changement d’objets, de protocoles ou encore d’alibis. Le tout est cohérent et fort, paradoxalement si les protagonistes sont plus jeunes que leurs ainés, ils dénotent d’une incroyable maturité à l’image, rendant le récit d’autant plus accrocheur. Si sur sa globalité on pourra pointer du doigt un épisode beaucoup moins puissant narrativement comme scénaristiquement (le second), le premier place nos personnages dans le contexte, nous montre l’aversion qu’éprouve Holmes pour le genre humain si ce n’est sur une table à la morgue, le troisième lui permet d’introduire le personnage que tout le monde attendait vu la qualité de ce Holmes : le professeur James Moriarty. Attendez vous à un choc, il est de loin pour moi l’une des illustrations du personnage la plus inventive, charismatique et folle, totalement British en passant; de ce que j’ai pu voir. Loin des personnages coincés dans leurs costumes, certes effrayants mais toujours assez semblables, Andrew Scott nous bluffe totalement, ce n’est pas dans la carrure qu’il va chercher sa dramaturgie mais dans son jeu. Mais pas un mot de plus, je vous invite plutôt à le voir à l’action, de préférence sans avoir fait de recherche sur l’acteur avant.

Mais comme dis plus haut, le second épisode est malheureusement assez confus, le scénario se perd et ne nous emmène jamais dans l’enquête véritablement, trop d’éléments sans rapport, un milieu peu fouillé, mais si sur un film cela aurait pu ternir et même peut être mettre fin à cette aventure, de nouveau le support série prend le dessus, preuve en est, une troisième saison est en cours.
Enfin, la véritable trouvaille technique de cette série est surement l’utilisation habile du texte, le texte directement apposé à l’image. Ce principe nous permet de suivre Holmes là où l’humain lambda tel que Watson serait tout de suite perdu, mais pas seulement, le rendu est simplement étonnant de justesse, toujours au bon endroit, au bon moment, rajoutant une dose de rire ou de compréhension selon la situation. Pas un mot à dire sur la réalisation, elle n’empiète jamais sur le rôle de Sherlock Holmes et les quelques effets filmiques de cadrages ou d’incrustations sont toujours bienvenus et ne servent qu’à mettre en valeur de manière plus qu’efficace les personnages.

Le + de MrLichi :

Il est crucial de souligner le travail d’écriture des personnages,  qui est tout simplement brillant pour un format comme celui ci, même si Cumberbatch crève l’écran, Watson (Martin Freeman) n’en est pas moins oublié, bien au contraire. Ils forment ainsi un duo paradoxalement antagoniste et parfaitement complémentaire, qui fait en sorte que l’alchimie et tout l’intérêt de cette série prenne forme.

Sherlock est une véritable surprise en matière de série, mais nous ne pouvions en attendre moins d’un homme tel que Moffat, le personnage de Holmes ne s’arrête pas une seule fois et son évolution morale grace à la présence de cet être pour lui étrange et pour nous normal ne fait que commencer.
Titre Français : Sherlock
Titre Original : Sherlock
Réalisation : Paul McGuigan, Euros Lyn
Création : Steben Loffat, Mark Gatiss
Scénario : Steben Loffat, Mark Gatiss et Stephen Thompson d’après l’oeuvre de Arthur Conan Doyle
Nombre de Saison : 1-2-3-?
Nombre d’Episodes par Saison : 3

Preview Saison 2 :

Mais ne nous contentons pas seulement de cet avis sur la première saison, car à l’occasion nous avons eu l’occasion d’être présent à la preview de la nouvelle saison de Sherlock. Même si a vrai dire cela fait un moment que j’ai bouclé cette seconde saison monstrueuse, mais soit, je ne vous parlerais que de ce premier épisode comme si je n’en avais pas vu plus.
Après l’arrivé de Moriarty dans l’épisode précédent, les créateurs ont décidé de mettre les bouchées doubles en faisant rentrer dans la danse un autre personnage primordial de l’univers Sherlock : Irène Adler. Et par la même occasion, la série change clairement de chemin en bifurquant sur une thématique par épisode, et la première se trouve être forcément l’amour.
Dès les premières minutes on retrouve directement le style qui avait fait le charme du troisième épisode de la précédente saison, le meilleur de celle-ci, notamment dans l’illustration démente de ce nouveau personnage. Bien sur on y retrouve le même fun et le coté décalé si propre à Moffat et aux séries anglaises.
On notera aussi une plus grande implication du docteur Watson dans l’histoire, mais surtout une décadence intrigante du détective privé qui semble ne plus tout contrôler face à cet ennemi, Moriarty, qui peu à peu lui apparaît et va sûrement être l’un des fils conducteurs de cette nouvelle saison.
En somme, cette seconde saison nous engage avec la même vigueur que le dernier épisode nous avait laissé, intrigué, en soif de connaître la suite des évènements. Elle ne devrait d’ailleurs pas tarder à arriver sur nos écrans. En attendant pour ceux qui auraient loupés cette première saison, je vous invite à vous rendre sur France 4 combler cette lacune !
Et pour finir, je vous laisse sur l’interview à laquelle nous avons pu assister de Steven Moffat.

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[AVIS SÉRIE] The Walking Dead /avis-serie-the-walking-dead/ /avis-serie-the-walking-dead/#comments Sun, 19 Dec 2010 13:53:00 +0000 /wordpress/?p=84 C’est la nouvelle série tendance, la série que tous les geeks et même les casuals parfois s’arrachent ces derniers temps!
C’est la nouvelle série avec des histoires de zombie, de survie et parfois même de sexe (mais pas avec les zombies). N’appréciant pas les films dans lesquels y a des morts-vivants habituellement, cette série a beaucoup beaucoup impressionné votre Whinze. Suite dans l’article!
The Walking Dead ou Les morts marchants en franco-français pour nos lecteurs d’extrême Amérique du Nord est une série télévisée issue d’un comic book du même nom qui a vu le jour aux Etats-Unis. Se déroulant dans un milieu post-apocalyptique, elle raconte l’histoire de Rick Grimes, sheriff d’une petite ville de Georgie, tentant de survivre dans un nouveau monde plein de mangeurs de viande halal affamés.

La série commence avec une gamine zombie abattue d’une balle dans la tête. De quoi refroidir les plus sensibles d’entre nous et surtout annoncer que ce qui suivra ne sera pas au goût du petit Brian, 5 ans, assis à côté de ses parents devant la télé. Flashback : Rick Grimes sort d’un coma causé par une balle qu’il s’est prise près du coeur. Mais lorsqu’il se réveille dans son hôpital, aucune trace de vie autour de lui. Uniquement des traces de mort : des cadavres sont alignés à la sortie de l’hôpital, du sang sur les murs et des corps sur le sol. Après avoir été faire un tour chez lui pour s’assurer que sa femme Lori et son fils Carl soient sains et saufs et s’être aperçu qu’ils avaient disparus, il décide de partir à leur recherche persuadé qu’ils sont toujours vivants.
C’est ainsi que le scénario commence.

Un ami m’a vivement recommandé de regarder cette série. A vrai dire je faisais des challenges Silent Hill et Resident Evil avec lui et il était persuadé que cette série me plaîrait.
Et ce fut le cas. Le premier détail qui m’a sauté, et même bondi aux yeux, c’est que cette série ressemble pas mal à Silent Hill et à Resident Evil : un flic, un commissariat, des égoûts, des zombies, un hôpital, peut-être un virus pondu par Umbrella qui sait ?

Concernant la réalisation, c’est assez bluffant. Dans la moitié du premier épisode il n’y a presque aucun dialogue et pourtant chaque émotion et chaque sentiment est presque palpable tellement la réalisation est bien foutue. Le stress lié à la survie est vraiment su-per bien communiqué au télé-spectateur, la réalisation des zombies est impressionnante et The Walking Dead marque beaucoup de points grâce à cela.

Aujourd’hui la première saison est terminée, et connaît un succès phénoménal aux USA. 5,3 millions d’Américains étaient assis devant leur téléviseur lors de la diffusion du premier épisode et 4,7 millions lors de celle du deuxième. La seconde saison est prévue pour octobre 2011 avec … une nouvelle équipe de scénaristes !
Franck Darabont, le producteur, a décidé de mettre à la porte toute l’équipe des scénaristes sollicitée pour la première saison pour des scénaristes freelance!

En somme une série extrêmement intéressante pour le moment, qui plaîra aux fans de Survival Horror et peut-être un peu moins aux fans du comic book.
La première saison fut un succès, et celui la suite reposera sur les épaules de la nouvelle équipe de scénaristes.
Titre Français : The Walking Dead
Titre Original : The Walking Dead
Réalisation : Frank Darabont
Création : Frank Darabont, Robert Kirkman
Scénario : Charlie Adlard, Frank Darabont, Robert Kirkman, Tony Moore
Date de Sortie Française : 20 mars 2011
Nombre de Saison : 1-
Nombre d’Episodes par Saison : 1-6
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